Il s’appelle Oleksandr. Lorsque les chars russes entrent dans Marioupol, le 18 mars 2022, ce jeune Ukrainien, alors âgé de 12 ans, n’imagine pas l’enfer qui l’attend. Arraché à sa mère, sans doute assassinée après leur séparation, il se retrouve parqué dans un "camp de filtration", puis envoyé à Donetsk, où des "services sociaux" préparent son adoption dans une famille russe. Par miracle, sa grand-mère retrouve sa trace. Au terme d’un voyage de tous les dangers, elle le récupère in extremis avant son départ. Lire l'édito > |