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Paris, mardi 4 juin 2024 |
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| Energie vs. IA : où iront les investissements ?
L'IA a beau être présentée comme le "nouvel Internet" qui débloquera la croissance mondiale et nous permettra d'entrer dans un nouveau super-cycle de création de richesse, elle est pour l'instant plus un poste de coûts que de profits pour notre économie.
Derrière un Nvidia qui engrange des profits historiques, il se trouve des Google, Facebook, Microsoft et une myriade de start-ups surcapitalisées qui investissent des centaines de milliards de dollars pour ne pas risquer de rater le coche.
Mais ces dépenses d'investissement – car ce sont bien des dépenses – sont in fine payées par une ponction sur l'économie réelle.
Les montants investis par Google et Facebook sont financés par la vente d'espaces publicitaires, qui sont payés par des entreprises qui vendent des services et des biens tangibles.
L'argent investi par Microsoft provient des dépenses d'équipement informatique de milliards de particuliers, de PME, de grands groupes et d'administrations publiques. Et l'argent des start-ups de l'IA, qui n'ont encore souvent ni produits ni services, provient des poches d'investisseurs optimistes qui l'ont durement gagné par le passé.
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| Jouer avec le système
Nous avons parlé hier d'un essai remarquable paru dans le Financial Times du week-end. Ruchir Sharma y explique ce qui fait vraiment défaut au capitalisme : l'ampleur du gouvernement.
Comme nous l'avons vu, le "gouvernement" – ainsi que les leaders d'opinion de la presse, les politiciens, les économistes universitaires, les think tanks, le Deep State et Wall Street – ont résolu tous les problèmes qui se sont présentés à nous, de la chute des dominos en Asie du Sud-Est à la pauvreté et à la discrimination de la population de Watts. Mais toutes ces solutions nous ont laissés avec un problème bien plus important : une dette nationale de 35 000 milliards de dollars.
Comment vont-ils résoudre ce problème ? C'est toute l'économie mondiale qui est en jeu... le dollar... la prospérité des Etats-Unis et la tendance primaire.
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| Réduflation : qui en est responsable ? - Ron Paul -
Joe Biden est le premier président de l'histoire américaine à avoir évoqué les sachets de chips au cours du discours annuel sur l'état de l'Union. Il a utilisé cet exemple pour illustrer le phénomène de la "réduflation" (en anglais, shrinkflation), c'est-à-dire lorsque les entreprises réduisent le volume des produits qu'elles commercialisent afin d'éviter d'en augmenter le prix unitaire.
Le président Biden a affirmé qu'en évitant de modifier la taille des paquets ainsi que leurs prix de vente, tout en réduisant les quantités de nourriture contenues à l'intérieur, les entreprises espèrent que la plupart des consommateurs ne se rendront pas compte qu'ils obtiennent en réalité une quantité réduite de chips, de biscuits ou de tout autre produit affecté par la réduflation.
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