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Découvrez nos nouveautés littéraires du mois de janvier |
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La France est noyée sous une tempête diluvienne qui lui donne des airs, en ce dernier jour de 1999, de fin du monde. Alexandre, reclus dans sa ferme du Lot où il a grandi avec ses trois sœurs, semble redouter davantage l’arrivée des gendarmes. Habité par ses plus tendres souvenirs, il va revivre les années flamboyantes de cette vie paysanne qui lui paraissait immuable enfant. Dans ce grand roman de « la nature humaine », Serge Joncour orchestre presque trente ans d’histoire nationale où se répondent jusqu’au vertige les progrès et les luttes qui ont jalonné la fin du XXᵉ siècle. Une instruction magnifique sur notre humanité en péril, à moins que la nature ne vienne reprendre certains de ses droits… |
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« Patience, mes filles ! Munyal ! Telle est la seule valeur du mariage et de la vie. » Au nord du Cameroun, au sein des riches familles peules et musulmanes, la patience est la vertu cardinale enseignée aux futures épouses. Malheur à celle qui osera contredire la volonté d’Allah ! Entre les murs des concessions, où règnent rivalité polygame et violences conjugales, la société camerounaise condamne ces femmes au silence. Mais c’est aussi là que les destins s’entrelacent. Ramla, arrachée à son premier amour ; Safira, confrontée à l’arrivée d’une deuxième épouse ; Hindou, mariée de force à son cousin : chacune rêve de s’affranchir de sa condition. Jusqu’où iront-elles pour se libérer ? |
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Quatorze ans après la disparition des jumelles Vignes, l’une d’elles réapparaît à Mallard, leur ville natale, dans le sud d’une Amérique fraîchement déségrégationnée. Adolescentes, elles avaient fugué main dans la main, décidées à affronter le monde. Pourtant, lorsque Desiree refait surface, elle a perdu la trace de sa jumelle depuis bien longtemps : Stella a disparu des années auparavant pour mener à Boston la vie d’une jeune femme blanche. Mais jusqu’où peut-on renoncer à une partie de soi-même ? Dans ce roman magistral, l’auteure explore les méandres de l’identité, de la filiation à la volonté d’être maître de son destin, en passant par le besoin dévorant de trouver sa place. |
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Tant qu'il reste des îles |
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« Ce pont, il a chuchoté, c’est la mort de la poésie. » Ici, on ne parle que de ça. Du pont. Bientôt, il reliera l’île au continent. Quand certains veulent bloquer le chantier, Léni, lui, observe sans rien dire. S’impliquer, il ne sait pas bien faire. Sauf auprès de sa fille. Et de Marcel, qui lui a tant appris : réparer les bateaux dans l’odeur de résine, tenir la houle, rêver de grands voiliers. Alors que le béton gagne sur la baie, Léni rencontre Chloé. Photographe, elle lui ouvre d’autres possibles. Mais des îles comme des hommes, l’inaccessibilité fait le charme autant que la faiblesse. |
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« Paupières closes coupées au canif, lèvres parfaitement dessinées, l’air imperturbable. Royal même. Au début, elle a cru qu’il lui plaisait, ce petit. Seulement voilà, cinq mois plus tard, elle a changé d’avis. Ça arrive à tout le monde, non ? Elle voudrait le rapporter à la maternité. » Que fait cette tache, noire, dans le cou de son bébé ? On dirait qu’elle s’étend, pieds, mains, bras, visage. Mais pourquoi sa peau se met-elle à foncer ? Ce deuxième enfant ne ressemble pas du tout à celui qu’elle attendait. Aucun doute, il y a un loup quelque part. D’une écriture aussi moderne qu’acérée, Amélie Cordonnier met en scène une femme paniquée à l’idée de ne pas réussir à aimer son enfant, et dont l’affolement devient de plus en plus inquiétant. |
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Sur la côte pacifique colombienne, entre océan déchaîné et jungle menaçante, vivent dans un cabanon de fortune Damaris et son mari pêcheur. Si elle est mélancolique, ce n’est pas à cause de son existence précaire : Damaris n’a jamais réussi à tomber enceinte et elle en souffre de plus en plus. Alors, quand elle adopte un chiot sur un coup de tête, l’animal devient une source infinie d’amour qu’elle va choyer sans relâche dans cet univers si hostile. Mais un jour, la chienne disparaît, plongeant Damaris dans un immense désarroi. Une exploration féroce et bouleversante du désir maternel. Une lecture choc qui dépayse autant qu’elle bouscule. |
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Après un épisode de gel qui a dévasté ses vignes, Bernard Mazet se décide à ouvrir des chambres d’hôtes pour sauver sa propriété de Haut Méac. Une bande de copains trentenaires s’y retrouvent pour passer quelques jours au vert. Mais un cadavre s’invite dans la partie de campagne… Le major Dambérailh, chef de la brigade locale, est chargé de l’affaire. Tandis que les conflits d’intérêt émergent au sein de son équipe, sa tante Daphné, vieille fille loufoque, s’immisce dans l’enquête. Il faudra exhumer bien des secrets pour que la lumière se fasse. |
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En quelques heures, la belle Briséis a vu sa vie s’effondrer. De reine grecque, elle est devenue l’esclave, le trophée parmi d'autres de l'homme qui l'a conquise : le divin Achille dont les générations futures chanteront les exploits. Elle doit désormais choisir : se laisser mourir ou survivre. Survivre comme un défi à la barbarie des dieux et des hommes, survivre pour raconter son histoire. L'histoire de la femme par laquelle la guerre de Troie a basculé. Avec elle, après 3 000 ans de silence, ce sont les voix de toutes les femmes laissées muettes par l'Histoire qui s'élèvent. Esclaves, prostituées, guérisseuses, effacées au profit des faits d'armes des guerriers. |
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Celle qui raconte cette histoire, c’est sa fille, Constance. Le père, c’est Jacques, jeune professeur d’italien passionné, qui aime l’opéra, la littérature et les antiquaires. Ce qu’il trouve en fuyant Nice en 1968 pour se mêler à l’effervescence parisienne, c’est la force d’être enfin lui-même, de se laisser aller à son désir pour les hommes. Il est parmi les premiers à mourir du sida au début des années 1990, elle est l’une des premières enfants à vivre en partie avec un couple d’hommes. |
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