Seule la Fed maintient "le légume" en vie |
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Paris, jeudi 5 décembre 2019

• Bruno Bertez : Les bulles portent en elles le germe de leur destruction
Pour comprendre les bulles, il faut envisager l'intégralité de leur cycle – et voir comment elles s'intègrent au programme des dirigeants.

• Bill Bonner : Tout le monde s'enrichit (puisqu'on vous le dit)
L'économie américaine va mal – et sans la perfusion de fausse monnaie administrée par la Fed, elle pourrait bien s'effondrer rapidement.

• Antony Sammeroff : L'instabilité des marchés n'est rien à côté de l'instabilité des politiques publiques
Face à l'instabilité boursière, certains pensent qu'il est nécessaire de réguler les marchés : mais qu'en est-il de la stabilité des régulateurs ?


LES NOTES DE BRUNO BERTEZ

Les bulles portent en elles le germe de leur destruction

Ce que beaucoup de commentateurs ne comprennent pas, c'est que la production de bulles fait partie intégrante de la répression financière.

La bulle ne se comprend pas en elle-même. Elle ne se comprend que dans son cycle, lequel inclut son éclatement ; c'est le complément final, l'apothéose.

La racine, la fonction radicale de la production de bulles, c'est celle que l'on ne dit pas : la destruction !

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Le système crée des bulles de prix des actifs et il le sait. Même Jerome Powell le sait, à la Fed, tout comme son prédécesseur Alan Greenspan le savait en son temps.

Pas assez de cynisme !

Powell est bien moins intelligent que Greenspan, qui affirmait que l'éclatement des bulles n'est pas un mal en soi. Il suffit, disait-il en privé, de faire en sorte que l'éclatement ne touche pas les structures même du système. En d'autres termes, il ne faut pas que les piliers systémiques soient mis en danger.

Greenspan a toujours déploré que les banques géantes, les "trop grosses pour faire faillite", n'aient pas dispersé, réparti plus cyniquement les risques sur le public. Il croyait à la possibilité de faire ruisseler les risques sur le public et les agents périphériques.

Ce n'est pas le genre de choses que l'on peut dire en public !

Le système, pour durer encore, pour se prolonger, produit de la monnaie qui vient gonfler les prix des actifs financiers. La monnaie ainsi piégée est bien sûr très excédentaire ; elle aggrave le mal tout en lui permettant de se prolonger.

Depuis 2009, il a fallu produire plus de bulles que prévu – le fameux engrenage – et plus longtemps car l'économie réelle n'a pas réussi à redémarrer. On continue donc en espérant... en espérant quoi ? Personne ne le sait. Un miracle, peut-être !

Le germe d'un destin

Mais les bulles contiennent en elles-mêmes le germe de leur destruction créatrice – tout comme les grains de blé contiennent en germe le futur champ de blé. C'est écrit, joué, acquis.
Le destin des bulles, c'est d'éclater et ainsi de libérer l'avenir.

Ainsi se produira ce qui est en germe : la destruction de l'excédent de monnaie, de la quasi-monnaie, de la simili-monnaie que nous repoussons devant nous comme le fait le chasse-neige quand il repousse la neige.

Nous sommes dans la gestion de long terme, cynique. A la régulation courte par le stop and go ancien a succédé la régulation longue par les bulles – c'est-à-dire par les coups d'accordéon successifs. Je gonfle, je dure, je disperse, je crève la bulle, je nettoie et je repars.

Colossal transfert de richesse.

Mais il faut attendre. Nous sommes dans le long, dans des cycles non pas conjoncturels mais historiques, générationnels. En attendant, il faut repousser... toujours plus loin.

Nous ne sommes pas dans des cycles conjoncturels ; nous sommes dans des cycles de production et reproduction de l'ordre social.

La montée du populisme atteste de ce que j'expose. L'enjeu c'est bien cela : l'Ordre.

La fonction de l'économie est de produire... un ordre social et des rapports de production.

[NDLR : Retrouvez toutes les analyses de Bruno Bertez sur son blog en cliquant ici.]



Bill Bonner
LES NOTES DE BILL BONNER

Tout le monde s'enrichit (puisqu'on vous le dit)

L'économie américaine aborde la fin 2019 avec un rythme cardiaque stable mais en montrant des signes croissants de démence sénile.

Le chômage est bas (principalement grâce au secteur des "services", à bas salaires). La croissance du PIB US est toujours positive, même si elle ralentit. Le Dow frôle les sommets de son canal. Et la Réserve fédérale injecte une fois encore de la fausse monnaie dans les marchés financiers.

Peut-être est-ce parce que le cannabis a été légalisé dans autant d'Etats américains...

... Mais la plupart des gens pensent que les choses ne vont pas si mal. Selon un tweet de M. Trump la semaine dernière : "tout le monde s'enrichit..."

"Et je me casse le c** au travail", a-t-il ajouté, comme pour suggérer qu'il y a un lien entre les deux choses.

Par n'importe quel moyen

Occasionnellement, un président aide certaines personnes à s'enrichir. Par n'importe quel moyen, souvent peu recommandable, certains peuvent faire jouer leurs contacts à la Maison Blanche pour gagner de belles sommes.

C'est tout le principe du Deep State, après tout.

Certains obtiennent des contrats pour des systèmes d'armement. D'autres gagnent gros en tant que lobbyistes. Certains se font une fortune en offrant "un accès". Et bien entendu, le président lui-même touche souvent le gros lot, après sa période à Washington, en donnant des discours, en vendant des livres et autres clowneries.

Cette semaine, par exemple, Trump a trimé sur une nouvelle guerre commerciale – contre le Brésil et l'Argentine cette fois-ci. "Mais qu'est-ce qu'on a fait ?" ont demandé les Latinos stupéfaits.

Nous ne le savons pas non plus. Mais une taxe sur les importations d'Amérique du Sud a très peu de chances d'enrichir tout le monde. Même les ouvriers métallurgistes américains ne verront probablement guère de gains.

Le Wall Street Journal rapportait cette semaine qu'on compte 1 500 emplois en moins dans le secteur depuis l'imposition des taxes douanières. Quant aux Américains moyens, ils paieront simplement plus cher les choses fabriquées avec de l'acier et de l'aluminium.

Cependant, avant que les autorités ne renversent le seau de lait, elles ont veillé à tirer quelques louches de crème pour leurs compères. Entre vendredi matin et lundi après-midi, les actions d'US Steel (X) ont pris un dollar.

Le président est, après tout, Politicien en Chef. Et la politique, cela revient surtout prendre à certains pour récompenser d'autres. Enrichir tout le monde n'est pas au programme. Cela ne l'a jamais été et ne le sera jamais.

Une économie faiblissante

En attendant, les chiffres nous montrent une économie en proie à un ralentissement général – avec une croissance faiblissante dans quasiment toutes les catégories importantes, des ventes finales aux emplois manufacturiers en passant par l'investissement.

On a accusé le ralentissement industriel du déclin boursier enregistré en début de semaine. CNBC titrait :

"Le Dow recule de 200 points sur des données manufacturières moins bonnes que prévu."

Bloomberg ajoute des détails :

"Le pouls industriel américain est resté faible en novembre, une mesure de la manufacture se contractant pour un quatrième mois consécutif sur fond de déclin des commandes et de production modeste. [...]

Les données de l'Institute for Supply Management montraient lundi que l'indice des directeurs d'achat industriels avait connu un déclin inattendu à 48,1, proche du plancher de l'expansion, contre 48,3 précédemment. Les prévisions médianes d'un sondage Bloomberg auprès d'économistes anticipaient une amélioration à 49,2. Un chiffre inférieur à 50 indique que l'activité se réduit."

Les guerriers du commerce ont pensé voir de bonnes nouvelles. Le déficit commercial américain sur octobre s'est réduit de cinq milliards de dollars – en baisse par rapport aux 70 milliards de dollars de septembre.

Oups... ce ne sont pas de si bonnes nouvelles que ça, en fait. Le déficit diminue parce que les importations ont chuté, non parce que les exportations ont augmenté. En d'autres termes, les Américains ont moins acheté à l'étranger que le mois précédent. Pourquoi ? Probablement parce qu'ils avaient moins d'argent.

Evidemment, il y a plus. Et si nous prenons assez de recul, nous pourrons voir plus clairement l'ensemble du tableau...

Ceci n'est pas un QE

Pour nos nouveaux lecteurs, voici une esquisse des évènements financiers les plus importants des 50 dernières années :

En 1971, les Etats-Unis ont abandonné l'étalon-or et ont commencé à émettre de la fausse monnaie. L'inflation des prix à la consommation a rapidement grimpé. Mesuré en dollars pré-1971, liés à l'or, le marché boursier s'est effondré. Le Dow a perdu 98,5% de sa valeur sur les neuf années qui ont suivi.

En 1980, Paul Volcker a mené une charge héroïque contre l'inflation. Il a gagné la bataille et déclenché ainsi le boom actuel, avec des taux d'intérêt de plus en plus bas sur les 39 années qui suivirent. Les actions ont grimpé – tant en termes de vraie que de fausse monnaie.

Suite au krach de 1987, la Fed a commencé à manipuler les cours boursiers grâce au célèbre "put Greenspan". Jusqu'alors, la Fed considérait que son rôle était de "retirer le bol de punch" lorsque la fête devenait un peu trop folle. A partir de là, elle se contenta d'ajouter plus d'alcool.

En 1999, les actions ont atteint un sommet historique. Il fallait plus de 40 onces de vraie monnaie – l'or – pour acheter le Dow Jones. Par rapport à 1971, les actions étaient deux fois plus élevées.

Avec le nouveau siècle est arrivée une correction – pour les Etats-Unis et pour leur marché boursier. La Fed a lutté contre le déclin des actions en réduisant les taux d'intérêt de plus de 500 points de base (5%). Les actions ont rebondi en dollar nominal, mais ont continué à chuter en dollar réel de 1971, adossé à l'or.

En 2001, George W. Bush a annoncé l'une des décisions les plus crétines de l'histoire de la politique étrangère américaine. Sa Guerre contre la terreur a coûté à ce jour 6 500 milliards de dollars au pays... et ce n'est pas fini. Cette dépense, associée à la nécessité de soutenir les prix des actions et les baby-boomers américains partant à la retraite, a rendu le pays dépendant de la fausse monnaie.

En 2008, une autre correction majeure a divisé les prix des actions par deux. A nouveau, la Fed a réagi avec une réduction des taux de plus de 500 points de base, ainsi qu'un programme de rachat d'actifs de 3 600 milliards de dollars (quantitative easing, assouplissement quantitatif, ou QE). A nouveau, les actions ont rebondi en termes de fausse monnaie mais ont continué à chuter, en termes d'argent réel, jusqu'en 2011.

En 2015, la Fed a décidé de commencer à "normaliser" les taux d'intérêt et réduire ses positions en obligations (quantitative tightening, resserrement quantitatif, ou QT). Elle n'a jamais remonté son taux directeur de plus de 250 points de base.

En 2018, une modeste correction de 15% sur les cours boursiers nominaux a fait paniquer la Fed, qui a abandonné sa politique de "normalisation". L'année suivante, elle a abaissé ses taux à trois reprises.

Le 3 octobre 2019, une rumeur a circulé selon laquelle la Fed allait reprendre le QE. Cinq jours plus tard, Jerome Powell confirmait qu'il allait entrer sur le marché des repos, "mais n'appelez pas ça un QE", a-t-il dit. Les actions ont grimpé.

En novembre, ce "non-QE" injectait de l'argent dans les marchés au rythme de 1 500 milliards de dollars par an – plus encore que durant la période de crise de 2008-2009.

Le président peut "se casser le c**" autant qu'il le veut ; c'est la perfusion de fausse monnaie de la Fed qui maintient ce légume en vie.
[NDLR : Ce pourrait bientôt être "électrocardiogramme plat" pour l'économie américaine – et cela pourrait, contre toute attente, ouvrir de belles opportunités... à condition de savoir en profiter. Voici comment faire.]


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LES NOTES D'ANTONY SAMMEROFF

L'instabilité des marchés n'est rien à côté de l'instabilité des politiques publiques

Un argument séduisant (du moins à première vue) contre les marchés réside dans l'idée selon laquelle ils seraient tellement imprévisibles et naturellement instables qu'il est légitime que l'Etat en assure la surveillance et intervienne pour en limiter les excès. Il y a beaucoup d'ironie dans cette position, pour une raison que je vais vous révéler.

L'économiste John Maynard Keynes (1883-1946) est probablement le plus célèbre partisan de cette position. Il est à l'origine de l'expression "les esprits animaux", qui décrit le comportement irrationnel et impulsif des intervenants sur le marché, basé sur des anticipations arbitraires et qui ne peut qu'entraîner de l'instabilité.

Une idée qui semble logique...

L'idée en elle-même peut sembler logique. Il est difficile pour les intellectuels, qui adorent ruminer des idées et élaborer des plans prometteurs, d'imaginer qu'une société pourrait fonctionner harmonieusement sans un système de planification centralisé.

La vérité, c'est que les économies de marché sont en fait des économies planifiées – mais il n'y a simplement pas de planification centralisée. Sur un marché, de nombreux individus imaginent leurs propres plans à petite échelle afin de transformer leurs idées les plus brillantes en nouvelles entreprises, associations caritatives, et autres organisations, dans le but d'impacter autant de gens que possible.

Les plans qui rencontrent le succès à petite échelle au départ attirent davantage de ressources et se développent progressivement pour avoir un impact de plus en plus grand. D'autres planificateurs s'en servent comme exemple et adaptent leurs propres plans à la lumière de leurs succès. En parallèle, les plans qui s'avèrent inadaptés échouent à se développer.

... Mais l'auto-régulation existe bel et bien

Cela signifie que, laissés à eux-mêmes, les marchés possèdent leurs propres mécanismes d'auto-régulation, que Keynes semble avoir négligés dans son analyse.

Bien que certains entrepreneurs, investisseurs et consommateurs puissent en effet prendre des décisions malavisées ou irrationnelles et commettre des erreurs (guidés par leurs instincts animaux), il en existera également toujours d'autres qui connaîtront le succès.

Le mécanisme des pertes et profits permet à long terme d'allouer le capital disponible vers les producteurs qui réussissent à prévoir correctement ce que les consommateurs (vous et moi) désirent plutôt que vers ceux qui utilisent mal leur capital. Ce mécanisme permet de limiter l'étendue des dommages causés par de mauvais décideurs.

Lorsque certaines personnes échouent, ces échecs n'auront que des conséquences limitées sur un petit nombre d'individus. On ne peut pas en dire autant des échecs des Etats, qui peuvent affecter la société tout entière.

Encore plus instables

A présent, voici le plus ironique. Même si on admettait que l'hypothèse de Keynes selon laquelle les marchés sont naturellement instables soit correcte, comment la perspective d'une intervention systématique du gouvernement dans l'économie pourrait avoir pour autre conséquence que de rendre les marchés encore plus instables et ainsi de faire en sorte qu'il soit plus difficile pour les "planificateurs à petite échelle" de prendre des décisions à long terme ?

Sur une période de 20 ans, le gouvernement pourrait changer au moins cinq fois. Chaque nouvelle administration peut décider de changer radicalement la forme d'intervention de l'Etat dans l'économie, en fonction de sa philosophie politique sous-jacente.

De nouveaux plans peuvent être imposés ou annulés à tout moment. Le gouvernement peut augmenter ou réduire les taxes arbitrairement, ou encore augmenter ou réduire les dépenses. Ils peuvent imposer de nouveaux tarifs douaniers, accorder des subventions, mettre en place de nouvelles réglementations et ou les supprimer.

Les banques centrales instituées par les Etats (telles que la banque d'Angleterre ou la Fed) peuvent faire varier à la hausse ou à la baisse les taux d'intérêt ; augmenter la masse monétaire ou la réduire.

Sans parler des décideurs eux-mêmes

Par ailleurs, qu'est-ce qui garantit que ces décideurs supposés calmes et vertueux soient eux-mêmes immunisés contre l'influence de leurs instincts animaux ? Ne sont-ils pas également influencés par leurs émotions, sans parler de leurs électeurs et des donateurs qu'ils doivent satisfaire ?

Oui, quand le spectre du gouvernement qui plane au-dessus de l'économie peut rapidement et de façon imprévisible se métamorphoser à tout moment et de multiples manières, cela ne peut qu'aggraver le problème que les keynésiens cherchent à résoudre.

L'économiste Robert Higgs appelle ce phénomène un "régime d'incertitude". Il s'agit dans d'une situation dans laquelle les investisseurs craignent qu'il soit difficile, voire impossible, d'anticiper dans quelle mesure les décisions prises par les gouvernements futurs pourraient altérer les "règles du jeu". Par conséquent, les investisseurs développent une aversion à la prise de risque (de façon similaire à ce que craignait Keynes), non pas en raison d'un manque d'intervention de l'Etat — mais au contraire par crainte d'une telle intervention !

Les investisseurs privés "jouent leur peau". La poursuite de leur propre intérêt devrait les motiver à limiter les risques qu'ils prennent à titre personnel, et à étudier l'ensemble des informations disponibles pour prendre les meilleures décisions possibles. En revanche, les agents publics dépensent nécessairement l'argent gagné par les autres et pour le compte d'autres individus.

Les personnes les mieux placées pour prendre de bonnes décisions en matière financière ne travaillent probablement pas pour l'Etat. Ils sont généralement dans le secteur privé, à imaginer des "plans à petite échelle" afin de lancer une nouvelle entreprise ou un nouveau produit qui pourrait un jour se diffuser à l'échelle mondiale, de la même manière que le téléphone mobile est maintenant disponible aux populations les plus pauvres d'Afrique.
[NDLR : Profitez de l'instabilité des marchés ET des gouvernements en jouant sur l'évolution d'un actif sûr et fiable en cas de crise – cliquez ici pour en savoir plus.]

Article traduit avec l'autorisation du Mises Institute. Original en anglais ici.

Antony Sammeroff est co-animateur du podcast Scottish Liberty. Auteur reconnu, il est intervenu dans de nombreux événements libertariens, et a signé plusieurs ouvrages, dont Universal Basic Income – For and Against.

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