La lettre confidentielle de LIBRE CONSENTEMENT ÉCLAIRÉ Le très select club des non-injectés
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COMPLOTS CONTRE NOS LIBERTÉS FONDAMENTALES ET NOS VIES La lettre du très select club des non-injectés et complotistes les mieux informés de la planète Désobéir ! Refuser l’inacceptable ! Ne pas se soumettre ! |
Comprendre l’affaire Epstein :
III. Un sparadrap sous la chaussure qui cacherait une ruse pour faire tomber Deep State (et bien plus) ?
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En toile de fond : portrait de Bill Clinton retrouvé dans une des résidences de Jeffrey E. Epstein En haut à gauche, Bill Gates, à droite, Barack Hussein Obama Au milieu à gauche : Ghislaine MaxwellEn bas, de gauche à droite : Jeffrey Epstein, Volodymyr Zelensky, Charles III, Benjamin Netanyahu, Pam Bondi et Donald J. Trump
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Le sparadrap sous la chaussure
Dans « Le Crabe aux pinces d’or » (1941), puis dans « L’Affaire Tournesol » (1956), Hergé glisse un gag devenu culte : le capitaine Haddock tente de se débarrasser d’un bout de sparadrap collé à sa chaussure. Il le jette, l’écrase, le pousse du pied, le coince sous un meuble… Rien n’y fait. Le sparadrap revient toujours. Cette métaphore s’applique désormais parfaitement à l’affaire Epstein : chaque tentative de l’écarter, de la minimiser ou de la faire oublier ne fait que la ramener sous la semelle du débat public, plus tenace que jamais.
Les derniers rebondissements pourraient être politiquement ravageurs pour Trump et les républicains : la démission de Pam Bondi est publiquement mise sur le tapis, et pas par n’importe qui ! Kash Patel, le directeur du FBI, et son adjoint, Dan Bongino, l’auraient déclaré haut et fort dans les couloirs de la Maison Blanche : c’est elle ou nous !
Et pourtant, Donald Trump a engrangé plusieurs succès incontestables depuis janvier 2025
En économie, sa politique a permis de restaurer l’emploi industriel, de rééquilibrer les accords commerciaux et de dynamiser les marchés. Avec plus de 142 ordres exécutifs signés en 100 jours pour réduire les contraintes sur les entreprises, ses mesures de déréglementation massive – d’abord décriées en Europe – ont pourtant favorisé une croissance robuste : - La bourse (S&P 500, via l'ETF SPY) atteint environ 624 USD, soit un gain d’environ +8 % depuis début 2025, témoignant d’un regain de confiance des investisseurs - Le taux de chômage est tombé à 4,1 % en juin 2025, son plus bas niveau depuis début 2024. - Les droits de douane ont rapporté près de 106 milliards de dollars à ce jour, avec un pic mensuel à 27,2 milliards USD en juin – soit une hausse record – et un total cumulé de 113 milliards sur les neuf premiers mois de l’année fiscale.
Sur l’immigration, Trump a lancé le plus grand programme d’expulsions de l’histoire des États-Unis, restructurant les agences fédérales pour expulser des millions de migrants illégaux, et prenant des mesures immédiates : réactivation du mur frontalier, restrictions sur les visas, rétablissement du programme « Remain in Mexico » et accélération des renvois. Dès les 100 premiers jours : - 65 000 arrestations ont été effectuées par l’ICE, dont 2 288 membres de gangs (MS‑13, 18th Street…) et 1 329 violant des lois sur les abus sexuels ou meurtres. - Plus de 200 000 expulsions étaient déjà actées fin mai 2025. - En juin 2025, un record de 209 vols d’expulsions a été enregistré (+54 % en un an), avec en parallèle 697 vols domestiques (+65 %). - Les passages illégaux à la frontière sud ont chuté de 93 %, passant de ≈118 000 à ≈ 8 725 par mois (mai 2025 contre mai 2024) - Le budget de l’ICE a explosé, avec 46,5 milliards $ dédiés au mur frontalier, 45 milliards $ pour des centres de détention, et 29,9 milliards $ pour le transport et l’expulsion, grâce au « One Big Beautiful Bill Act »
En diplomatie, depuis janvier 2025, Donald Trump a exploité sa posture de « dealmaker » (« faiseur d’accords ») sur la scène internationale, avec des succès incontestables : - Inde – Pakistan : en mai 2025, un cessez-le-feu a été annoncé entre New Delhi et Islamabad, grâce à une médiation directe de l’administration Trump. Marco Rubio a déclaré que les États-Unis, sous Trump, avaient tout fait pour « stopper et prévenir » une conflagration, potentiellement nucléaire. - République démocratique du Congo – Rwanda : le 27 juin 2025, un accord dit de Washington a été signé à la Maison-Blanche, négocié sous l’égide de Trump, du Secrétarie d’État Marco Rubio et de l’envoyé spécial Massad Boulos. Il prévoit le retrait des troupes rwandaises d’ici 90 jours et la mise en place d’un cadre économique régional pour exploiter ensemble les ressources minières. Un accord jugé historique, susceptible d’apporter stabilité et accès aux minerais essentiels aux industries américaines. - Afrique de l’Ouest : lors d’un sommet à la Maison-Blanche en juillet, Trump a annoncé un pivot stratégique passant de l’aide au commerce avec des pays comme Liberia, Sénégal, Gabon, Mauritanie et Guinée-Bissau, ouvrant la voie à des accords d’investissements et de sécurité basés sur l’exploitation des ressources locales. - Réseaux commerciaux clés : en février 2025, Narendra Modi est reçu à Washington, et les deux pays établissent la « Mission 500 », visant à porter les échanges bilatéraux à 500 milliards USD d’ici 2030, avec un partenariat stratégique pour le pétrole, le gaz et la défense. - Moyen‑Orient : en mai 2025, sa visite triomphe aussi bien diplomatique que commerciale — contrat de 600 milliards USD promis par l'Arabie saoudite en entreprises, déclenchement d’investissements majeurs dans les exportations de semi‑conducteurs vers les Émirats & l’Arabie au nom de la sécurité technologique. Parallèlement, il négocie un cessez‑le‑feu entre les États‑Unis et les Houthis, conclu le 6 mai et maintenant en vigueur, faisant cesser les attaques contre les navires US tout en maintenant la pression sur Israël. - OTAN / Ukraine : lors du sommet de La Haye fin juin, Trump obtient un engagement sans précédent : les 32 membres de l’OTAN s’engagent à porter leurs dépenses militaires à 5 % du PIB d’ici 2035, une promesse chiffrée dont lui-même revendique la paternité. Il conclut un mécanisme inédit : les États‑Unis vendent des armes à l’OTAN, qui les revend à l’Ukraine — stratégie saluée comme un modèle innovant de solidarité transatlantique, tout en poussant les alliés à relever leurs engagements.
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Les revirements de Pam Bondi et de Kash Patel : de la transparence promise aux mensonges et aux silences protecteurs des violeurs et des pédophiles ?
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Malgré les succès incontestables de Trump, en politique intérieure comme internationale depuis janvier 2025 — succès qui devraient faire la Une chaque matin — les revirements de Pam Bondi et de Kash Patel sur l’affaire Epstein ont tout éclipsé. Le 21 février 2025, l’ancienne procureure de Floride Pam Bondi affirmait en direct sur « Fox News » que la fameuse liste des clients d’Epstein était sur bureau pour examen, dans le cadre d’une directive émise par Donald Trump. En mars, elle va plus loin, promettant qu’un « camion entier » de documents allait être rendu public, en précisant que ces milliers de pages étaient en cours d’examen par le FBI. Mais, en juillet 2025, le ton change brutalement : le Département de la Justice déclare qu’aucune liste n’existe, que Jeffrey Epstein aurait opéré « seul », et que les documents attendus ne seront finalement pas publiés.
En quelques mois, l’affaire passe d’une promesse de transparence totale à un enfouissement définitif, digne des régimes que Trump et son administration prétendent combattre. Que s’est-il passé entre-temps ? Qui a passé un coup de fil à qui ? Qui a fermé les archives, et pour protéger qui ? Comment comprendre cet incroyable revirement ?
Mettre fin à la dissimulation du dossier Epstein
Kash Patel, ex-conseiller de Trump au renseignement et actuel directeur du FBI, avait quant à lui promis haut et fort de mettre fin à « la dissimulation Epstein ». Il s’était engagé à rendre publics l’ensemble des dossiers, à tenir pour responsables ceux qui avaient couvert les agissements du réseau, et à révéler pourquoi des preuves clés avaient été tenues secrètes si longtemps. Avant de prendre la tête du FBI, il aurait même déclaré : « C’est simple, parce qu’il y a qui est sur cette liste ? Vous ne croyez pas que Bill Gates fait pression jour et nuit au Congrès pour empêcher sa révélation ? (1) »
À ce jour, pas la moindre publication, pas la moindre inculpation, pas la moindre audition parlementaire sérieuse sur ces révélations. Le récit initial – celui d’un grand déballage – s’est lentement mué en opération bipartisane d’étouffement. La promesse MAGA d’assainissement moral du marigot politicien de Washington se heurte à la même loi du silence que celle du camp d’en face et des millions d’électeurs de Trump le refusent, comment leur donner tort ?
Bondi et Patel : quelles hypothèses restent sur la table ?
Les volte-face de Pam Bondi et de Kash Patel, leur silence sur des engagements publics, la disparition soudaine des documents promis, soulèvent des questions majeures. Trois hypothèses principales émergent – toutes inquiétantes.
Hypothèse 1 : Certains républicains — ou Donald Trump lui-même — seraient impliqués dans le scandale Epstein, et il faudrait les protéger
Pam Bondi et Kash Patel ne seraient pas les seuls à connaître l’identité des clients d’Epstein. « The Times » du 28 février 2025 rapporte que Bondi a distribué des copies du carnet de contacts d’Epstein à une quinzaine d’influenceurs conservateurs et journalistes citoyens (comme Jessica Reed Kraus et Liz Wheeler) lors d’un briefing à la Maison Blanche, les rendant ainsi informés des noms (2).
Alors comment expliquer le revirement de Bondi et de Patel sur la divulgation publique de ces carnets ? Serait-ce parce que certains républicains influents figurent dans ces carnets — ou d’autres — et que leur publication, à la suite de celles déjà remises aux influenceurs, exposerait des alliés de Trump ? »
Dans ce contexte, ces révélations reviendraient à détruire des alliés politiques de Trump, à commencer par ceux qui l’assurent aujourd’hui de leur fidélité. Ce scénario expliquerait pourquoi Trump lui-même, s’il est mentionné, pourrait chercher à enterrer les documents, tout en prétendant lutter pour la transparence.
Implication d’élus républicains ?
Aucune source officielle ne mentionne aujourd’hui le nom d’élus du Congrès en exercice qui seraient directement impliqués dans les activités criminelles d’Epstein, mais plusieurs noms liés au Parti républicain figurent sur les listings ou dans les relations d’Epstein : Donald Trump, bien sûr (7 vols documentés à bord du Lolita Express), mais aussi Mark Epstein, frère de Jeffrey, qui aurait financé certaines campagnes locales.
Par ailleurs :
- Un article du « Wall Street Journal » du 30 août 2023 intitulé « How Jeffrey Epstein Tried to Tap Into Trump’s Circle » (« « Comment Jeffrey Epstein a essayé de s’introduire dans le cercle de Trump ») révèle que Jeffrey Epstein a organisé des rencontres en 2016 entre un diplomate russe, Vitaly Churkin, et des donateurs républicains majeurs comme Peter Thiel (investisseur tech soutenant Trump et des candidats GOP) et Thomas Barrack, alors conseiller de Trump et « fundraiser » (« collecteur de fonds ») républicain.
- Dans l’article « Prosecutors worked to cut sex abuser Jeffrey Epstein a break » (« Les procureurs ont œuvré pour accorder un traitement de faveur à l’abuseur sexuel Jeffrey Epstein ») publié le 28 novembre 2018 dans le « Miami Herald », il est détaillé l'accord de non-poursuite de 2008 négocié par des avocats républicains comme Alan Dershowitz (alors conseiller de Trump) et Ken Starr (ex-procureur indépendant républicain).
- Dans le « Miami Herald » daté du 7 mai 2025, l’auteur de l’article intitulé « Tens of thousands': Bondi says FBI reviewing Epstein videos » (‘Des dizaines de milliers ‘ : Bondi affirme que le FBI examine les vidéos d’Epstein. » mentionne le scepticisme républicain face au tapage de Pam Bondi qui parle de milliers de vidéos, comme le député James Comer, président du comité de surveillance de la Chambre qui pense que les documents ont été détruits par l'administration précédente.
En réalité, ni les sources officielles ni la presse ne citent le nom d’un élu du Congrès en exercice directement impliqué dans les activités criminelles d’Epstein. On a beau fouiller, rien ne valide cette hypothèse. »
Trump serait un complice de longue date d’Epstein
Trump et Epstein se fréquentaient dès les années 1980, principalement à New York et Palm Beach, où ils fréquentaient les mêmes cercles mondains.
Ils se connaissaient et se fréquentaient (en 2002, Trump a décrit Epstein comme un « gars formidable » (3), Epstein a visité Mar-a-Lago à plusieurs reprises dans les années 1990-2004 et Trump a voyagé au moins sept fois sur les avions d'Epstein entre 1993 et 1997. Mais ces vols, limités à des trajets comme Palm Beach – New York, n’avaient aucun lien avec l’île de Little St. James ni avec des activités criminelles.
En 2004, leur relation s’envenime à la suite d’un désaccord sur une propriété à Palm Beach et de rumeurs concernant Epstein et des mineures. Trump lui interdit alors l’accès à Mar-a-Lago. Les liens sociaux entre les deux hommes cesseraient définitivement à partir de ce moment.
Aucun élément concret ni poursuite judiciaire ne met en cause Trump dans les crimes d’Epstein. Les principales affaires pénales d’Epstein datent de 2008 (accord de non-poursuite pour sollicitation de prostitution impliquant des mineures, avec une peine de 13 mois de prison aménagée) et de 2019 (arrestation pour trafic sexuel, suivie très vraisemblablement de son faux suicide mais de sa véritable exécution).
Trump n’a été ni témoin, ni suspect, ni complice dans ces enquêtes fédérales ou étatiques. Il a nié toute connaissance des crimes d'Epstein et a coopéré avec les autorités en 2009 en fournissant des informations sur Epstein lors l’enquête menée en Floride.
Une opération anonyme aux allures de montage CIA/FBI au service du clan Obama-Clinton-Biden-Gates-Soros
La seule allégation directe liant Trump à Epstein dans une affaire judiciaire est une plainte civile (non pénale) déposée en 2016 par une femme anonyme utilisant le pseudonyme « Katie Johnson » (ou « Jane Doe »). Dans la plainte civile, Trump et Epstein étaient accusés de l’avoir violée en 1994, à l'âge de 13 ans, lors de fêtes à la résidence d’Epstein à Manhattan. La plainte a été déposée plusieurs fois (avril 2016 en Californie, puis en juin et septembre 2016 à New York), mais rejetée ou retirée à chaque fois pour des motifs procéduraux (revendications non valides sous la loi fédérale) ou sans explication. Une conférence de presse prévue en novembre 2016 a été annulée en raison de menaces présumées contre l’accusatrice, sans que cela n’ait été démontré.
Aucun élément concret n'a été présenté, et des enquêtes journalistiques (comme celles de « The Guardian » en juillet 2016) ont suggéré que l'affaire pourrait être fabriquée ou orchestrée par des opposants à Trump. Elle n'a donné lieu à aucune poursuite pénale contre Trump, et l'accusatrice a abandonné la plainte définitivement le 4 novembre 2016.
Si Trump était impliqué, pourquoi ses ennemis ne l’ont-ils pas détruit avant novembre 2024 ?
C’est l’argument-clé contre cette hypothèse : l’axe Obama-Clinton-Biden a tout tenté pour ruiner Trump — procédures d’impeachment, poursuites fiscales, dossiers classifiés, procès politiques, et jusqu’à une tentative d’assassinat manquée en juillet 2024 à Butler. Pourquoi n’ont-ils pas utilisé cette « carte » s’ils détenaient une preuve de son implication dans les activités criminelles d’Epstein ? Comment ne pas répondre simplement à cette question : N’est-ce pas parce que Trump ne figure tout simplement pas parmi les agresseurs ou les complices dans les documents saisis — à la différence de plusieurs démocrates de premier plan ?
L’argument « la vie d’innocents serait détruite » est une ineptie
Certains juristes proches du DOJ et du FBI affirment que publier la liste « risquerait de ruiner la vie de personnes innocentes » — mais n’est-ce pas le rôle du DOJ et du FBI d’enquêter, de blanchir les innocents et de poursuivre les coupables ? Et des coupables, il y en a, c’est incontestable, alors qu’attendent-ils ?
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Hypothèse 2 : Des agents de la CIA et du Mossad seraient complices d’Epstein
Cette hypothèse est portée par les travaux de Whitney Webb, ceux de l'ancien agent Ari Ben-Menache, et par les analyses croisées de « The Grayzone » et de « RT International ». Ils suggèrent qu’Epstein et Maxwell auraient travaillé comme agents du Mossad, en utilisant des jeunes filles pour compromettre des membres de l’élite politique, médiatique et financière afin d’obtenir des informations ou d’influer sur des décisions.
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Photos d’Ehud Barack À gauche : La photo aurait été prise dans les WC d’une propriété d’Epstein le 23/07/2009 à 17 :27 – Personne n’arrive à donner une signification à cette pose de la part de l’ancien Premier ministre israélien. En haut en partant de la gauche : photo d’Ehud Barack (haut de la la tête et lunette) devant l’entrée de la résidence d’Epstein à Manhattan, visage de la photo avec le W.C. retouché par IA. Les jeunes filles sont celles qui auraient pénétré dans la résidence d’Epstein avant Ehud Barack. |
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Les rappels historiques de Whitney Webb dans son livre « Une nation sous chantage » (« One Nation Under Blackmail »)
Dans son livre « Une nation sous chantage » (« One Nation Under Blackmail », 2 tomes), Whitney Webb explore en détail les liens d’Epstein avec des réseaux de renseignement, y compris le Mossad, via Robert Maxwell (4) (1913‑1991) et des alliés comme Leslie Wexner (5) et Adnan Khashoggi (6).
Elle souligne également que la CIA a historiquement forgé des alliances avec la mafia (7) – avec des figures comme Sam Giancana (8) , Johnny Roselli (9) et Santo Trafficante (10) – dans le cadre d’opérations d’élimination ciblée (par exemple, les tentatives d’assassinat de Fidel Castro via poison ou cigare empoisonné), ainsi que des opérations de chantage orchestrées via des réseaux clandestins de type Epstein.
À ce sujet, précisons que ces opérations de chantage, documentées dans des enquêtes journalistiques et des livres comme celui de Whitney Webb, ont commencé dès les années 1930 avec Meyer Lansky (figure clé du syndicat du crime national), qui utilisait des « Honey Traps » (pièges sexuels) pour faire chanter des diplomates étrangers, via des associées comme Virginia Hill.
Dans les années 1950, pendant l’époque McCarthy, selon plusieurs sources documentées, un réseau de chantage sexuel impliquant des enfants (principalement des garçons) a été orchestré par Lewis Rosenstiel (11) (associé de Lansky et magnat des spiritueux), Roy Cohn (conseiller de McCarthy) et J. Edgar Hoover (directeur du FBI), avec des enregistrements audio/vidéo effectués dans la « Blue Suite » de l'hôtel Plaza à Manhattan pour compromettre des personnalités. Ces faits ont été confirmés par des témoignages, et on les retrouve énumérés pour certains dans le dossier de divorce des époux Rosenstiel – Rosenstiel v Rosenstiel (Lewis S. Rosenstiel était associé à Meyer Lansky), Cour d’appel de New York, décision du 9 juillet 1965 – et des enquêtes criminelles new-yorkaises des années 1970.
Citons également à ce sujet le livre d’investigation « Official and Confidential: The Secret Life of J. Edgar Hoover » (« Officiel et confidentiel : la vie secrète de J. Edgar Hoover ») d'Anthony Summers.
Le réseau d’Epstein est vu comme une continuation moderne de ces tactiques de chantage, et Trump voudrait en bénéficier pour imposer sa politique au Moyen-Orient.
Si l’hypothèse de l’implication du Mossad et de personnalités politiques israéliennes de premier plan dans le réseau criminel d’Epstein est fondée, et si la CIA était en possession de documents et de vidéos le confirmant, Trump pourrait choisir de ne pas divulguer ces noms dans un calcul géopolitique : faire pression en coulisses pour obtenir des accords ou des appuis au Moyen-Orient. En rendant cela public, il brûlerait une carte stratégique. Inversement, il pourrait s’en servir comme arme de négociation, notamment contre Netanyahou ou ses successeurs.
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Hypothèse 3 : La présence de documents et de photos impliquant le prince Andrew et d’autres dignitaires britanniques serait une opportunité politique pour Trump
Le nom du prince Andrew figure dans les plaintes, les carnets de vol, et dans l’accord de 12 millions de dollars signé avec Virginia Giuffre. Son implication est actée, même si elle est médiatiquement minimisée. Un acte judiciaire émis depuis les États-Unis contre un membre de la famille royale britannique provoquerait une crise diplomatique majeure. Si Andrew refusait de comparaître, le Royaume-Uni serait contraint de choisir entre sa justice et Washington. Dans un climat post-Brexit déjà fragile, une telle affaire pourrait faire imploser le gouvernement britannique — ou contraindre Londres à des concessions majeures sur des dossiers comme l’OTAN, l’Ukraine ou l’AUKUS.
Trump et Starmer : la guerre froide atlantique
Le nazi Keir Starmer, nouveau Premier ministre britannique, adopte une posture belliciste sur l’Ukraine, soutenu en cela par l’Éborgneur en chef des Gilets jaunes, Emmanuel Macron (et sans doute également par monsieur Brigitte), et par le nouveau Führer de Berlin, le nazi Friedrich Merz qui veut refaire de la Bundeswehr « la plus puissante armée conventionnelle d’Europe », exactement comme sous Hitler (12).
« Agir dans l’obscurité des couloirs souterrains de la diplomatie secrète »
Pour Trump, révéler la vérité sur Andrew et d’autres dignitaires du Royaume-Uni pourrait affaiblir fortement Keir Starmer, voire provoquer une crise de régime au Royaume-Uni, mais ne serait-il pas plus profitable d’agir avec ces informations dans l’obscurité des couloirs souterrains de la diplomatie secrète ? L’objectif de Trump ne serait-il pas, alors, de ramener cette bande de nazis, qui veut déclencher une guerre contre la Russie, à la raison ?
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Donald J. Trump n’est pas journaliste d’investigation ou procureur en charge d’un procès dans lequel il doit faire éclater la vérité, il est le Président des États-Unis d’Amérique
C’est un acteur politique de premier plan, doté de leviers de pouvoir redoutables, à la tête de la machine étatique la plus puissante du monde.
Ses décisions peuvent provoquer des crises économiques de grande ampleur, déclencher des guerres ou y mettre fin, renverser des régimes, provoquer des révolutions, ou imposer la paix là où la guerre ne peut pas se faire sans l’armement des États-Unis.
Il est le Président des États-Unis d’Amérique qui ont besoin de se relever sur tous les fronts, tant les politiques des cliques Clinton-Obama-Biden les ont affaiblis et mis en quasi-faillite : face à l’incroyable essor économique et militaire de la Chine, si le dollar perdait son statut de monnaie de référence mondiale, les États-Unis seraient en cessation de paiement et leur monnaie ne vaudrait guère plus que la roupie indienne — actuellement échangée à 0,01166 dollar.
Le rôle actuel du président Trump n’est-il pas de saisir toutes les opportunités pour rendre aux États-Unis leur grandeur ?
Ainsi, si les documents et vidéos contenues dans le dossier Epstein peuvent lui permettre, dans l’ombre de la diplomatie secrète, de marquer des points décisifs eu Ukraine et au Moyen Orient, tout en maintenant le dollar comme monnaie de référence mondiale et d’épargner également des centaines ou des millions de vie, n’aurait-il pas tort de s’en priver ?
Evidemment qu’il aurait tort de ne pas utiliser ces documents pour imposer la paix au Moyen-Orient et en Ukraine, quitte à ne pas tenir une promesse de campagne électorale.
Et dans ce cadre, toute explication publique, du genre « Je ne rends pas publics les documents et vidéos de l’affaire Epstein pour de bonnes raisons, car ils me permettent de faire pression sur les dirigeants de l’UE, du Royaume-Uni et d’Israël, dont beaucoup apparaissent dans ce dossier — cela me donne un levier que je préfère utiliser discrètement, pour éviter une escalade incontrôlable. » est strictement impossible.
L’affaire Epstein n’échappe pas à cette logique cynique du pouvoir
Si la CIA est impliquée, si le Mossad a dirigé ou utilisé ce réseau à des fins de chantage, si des membres de la Couronne britannique, du gouvernement britannique et israélien y sont compromis — révéler les documents ne reviendrait pas à « rendre justice », car ces gens sont hors d’atteinte dans leurs pays, mais à provoquer chez eux une réaction de survie géopolitique : précipiter l’OTAN dans une guerre ouverte contre la Russie, et raviver les conflits au Moyen-Orient pour détourner l’attention de leurs peuples.
Ces révélations ne risqueraient-elles pas de faire sauter une partie de l’ordre mondial, que Trump est justement en train de reprendre en main, pour le plus grand bénéfice des États-Unis ?
Une équation de laquelle il est difficile de sortir le dossier Epstein
Epstein travaillait-il pour le Mossad et/ou la CIA ? Comment en douter ? Quelle est la puissance de ces agences de renseignement ? Indéfinissable, car s'ils peuvent tuer JFK, s'ils peuvent simuler des alunissages, s’ils peuvent faire tomber les tours jumelles, comment savoir ce qu’ils peuvent faire d’autre, sans parler de déclencher l’apocalypse nucléaire (ce qu’ils peuvent sans doute faire également) ?
Ajoutez à cela que des ayatollahs et dignitaire iraniens appelleraient à l’assassinat de Trump et de Netanyahu, et que plus de 40 millions de dollars auraient été récoltés en ligne pour financer l’organisation de leur assassinat.
Alors, comment imaginer que Trump et son administration ne vivent pas dans une sorte de terreur face aux réelles menaces qui pèsent sur leurs épaules, que ce soit de la part de leur ennemis extérieurs ou de leurs agences de sécurité ?
À la demi seconde et au millimètre près, Trump a failli y passer. Comment imaginer que les services secrets, le FBI et la CIA n’aient pas été impliqués au plus haut niveau dans ce qui a failli lui couter la vie ? Comment imaginer que Trump et sa garde rapprochée ne veuillent pas démasquer et éliminer les coupables ? Vu l’implication d’israéliens, dont Ehud Barak, dans le dossier Epstein, comment croire que ce dossier — aux ramifications internationales et nucléaires — ne soit pas au cœur de l’équation stratégique de Trump ?
La question, pour Trump et les siens, n’est donc pas : « Faut-il dire la vérité puisque nous l’avons promise pendant la campagne ? », mais « Pourquoi ne pas l’utiliser comme arme au service de notre politique ? »
Si les preuves détenues par le DOJ, ou par les services fédéraux américains sont bel et bien réelles — et tout indique qu’elles le sont — alors elles représentent un joker absolu dans les négociations internationales à venir : sur le Moyen-Orient, sur la paix en Ukraine, ou sur la reconquête du pouvoir par l’axe MAGA et la destruction de Deep State, ce qui est essentiel pour nos droits d'êtres humains et pour nos libertés fondamentales.
Morale de l’histoire : un Président des États-Unis, un bluff, un monde à genoux
Trump est comme un joueur de poker entraîné malgré lui dans une partie ruineuse, avec une main ambiguë. Il ne sait pas encore si le flop (les révélations publiques) lui sera favorable ou destructeur. Il lui reste alors deux options : - Soit bluffer la force de son jeu, en laissant croire qu’il détient des preuves accablantes pour forcer les autres à se coucher. - Soit minimiser ses cartes, faire semblant de n’avoir rien d’explosif, pour pousser ses adversaires à tout miser… et les faire tomber dans le piège d’un tapis aussi silencieux que fatal.
« Dans tous les cas, ce n’est pas la justice qui décide, c’est la stratégie politique »
Dans tous les cas, ce n’est pas la justice qui décide, c’est la stratégie politique. Et pendant ce temps, des centaines de jeunes filles violées, réduites à l’état de produits d’échange géopolitique, n’obtiennent ni reconnaissance, ni réparation. Elles sont devenues des pions de plus dans le grand jeu des puissants. Et les coupables dorment tranquilles, ils ne sont pas inquiétés.
L’art suprême de la mise en scène politique de Trump semble être en échec : cela ne passe décidément pas !
Donald Trump maîtrise l’art de la mise en scène politique, une maîtrise qui en fait le N°1 du monde occidental, un « Maestro », il sait mieux que quiconque capter l’attention, saturer l’agenda médiatique et politique, et ses indéniables succès politiques intérieurs et internationaux devraient lui faciliter la tâche. Mais rien n’y fait : depuis quelques jours, le sparadrap Epstein lui colle aux basques, quoi qu’il dise, quoi qu’il fasse. Il a beau gesticuler, improviser, séduire : rien n’y fait.
L’affaire Epstein est-elle en train d’échapper à la maîtrise de l’agenda médiatique et politique de Trump ?
Donald J. Trump, feignant l’incompréhension et la surprise, a posté le 12 juillet 2025 sur son réseau « Truth Social » (« Réseau Vérité »), le message suivant : « Que se passe-t-il avec mes “gars” et, dans certains cas, mes “filles” ? Ils s’en prennent tous à la procureure générale Pam Bondi, qui fait un TRAVAIL FANTASTIQUE ! Elle enquête sur l’affaire Epstein de manière JUSTE et HONNÊTE. Nous avons une administration PARFAITE, L’ADMIRATION DU MONDE, et certaines personnes “égoïstes” essaient de la saboter de l’intérieur. Le mouvement MAGA doit rester UNI — finissons-en avec les querelles internes. Nos ennemis sont à l’extérieur. Concentrez-vous ! », comme si les raisons du refus de la base MAGA, et de certaines figures très médiatisées, de voir l’affaire Epstein passer en pertes et profits de sa politique lui étaient inconnues, et comme s’il n’y avait strictement rien à redire sur les revirements de Pam Bondi et de Kash Patel.
Cela suffira-t-il à stopper la tempête qui est en train de se lever chez ses électeurs et soutiens historiques ? L’avenir nous le dira très bientôt, mais le sparadrap Epstein, lui, ne tombera pas si facilement.
Certaines portes ne s’ouvrent qu’en silence
Pour conclure, les développements actuels de l’affaire Epstein sont-ils le fruit d’un simple contretemps mal géré, une sorte de désagrément collatérale, ou cette affaire porte-t-elle en elle un tel pouvoir de nuisance, un tel risque de désagrégation interne de toute la communauté du renseignement des États-Unis, d’Israël et dans une moindre mesure du Royaume Uni, qu’elle ne peut être utilisée que comme un rideau de fumée ?
Un rideau de fumée agité, ou volontairement laissé en suspens, pour permettre à Trump et à son équipe, dans l’obscurité, loin des caméras et de la scène médiatique, d’avancer des pions plus lourds, plus complexes, avec des risques de retombées sidérantes aux États-Unis ? Certaines portes ne s’ouvrent qu’en silence, et certains secrets, pour se transformer en armes, doivent d’abord être cachés de l’opinion publique
Les revirements de Pam Bondi et de Kash Patel sont-ils les volets visibles d’une ruse pour faire tomber Deep State (« État profond ») et imposer la paix en Ukraine et au Moyen Orient ? On l’espère, mais le prix politique pour Trump et MAGA risque d’être très élevé, car manifestement, contrairement à ce qui se passe en France, une majorité d’électeurs républicains ne considèrent plus que les promesses électorales n’engagent que ceux qui y croient. Mais ce qui semble sûr, c’est que Trump joue une partie où chaque carte peut faire tomber un empire — ou le sien.
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Patrick Ledrappier Présdient co-fondateur |
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Notes : 1. Interview Kash Patel par Benny Johnson : « C’est simple, parce qu’il y a qui est sur cette liste ? » https://x.com/bennyjohnson/status/1737167456374862197 2. « The Times » : « Jeffrey Epstein files released — and shed more heat than light ». https://www.thetimes.com/us/news-today/article/jeffrey-epstein-files-released-list-clients-flight-log-grvpfjngz 3. « New York Magazine » : « Jeffrey Epstein: International Moneyman of Mystery » par Landon Thomas, 28 octobre 2002 (https://nymag.com/nymetro/news/people/n_7912/) 4. Robert Maxwell, né Ján Ludvík Hyman Binyamin Hoch le 10 juin 1923 en Tchécoslovaquie, dans une famille juive pauvre, fuit les nazis en 1939 pour rejoindre la Grande-Bretagne. Il s'engage dans l'armée britannique pendant la Seconde Guerre mondiale, devient capitaine et reçoit la Croix militaire. Après la guerre, il construit un empire médiatique (notamment Pergamon Press et Mirror Group Newspapers) et devient député travailliste de 1964 à 1970. Dans les années 1980, il est impliqué dans des fraudes massives, notamment le détournement de près de 400 millions de livres des fonds de pension de ses employés. Le 5 novembre 1991, il meurt noyé au large des Canaries, après une chute de son yacht. Si la thèse officielle évoque un accident, de nombreuses spéculations évoquent un suicide ou un assassinat, compte tenu de ses dettes et de ses liens troubles. Relations avec le Mossad : Maxwell aurait été recruté par le Mossad dans les années 1980, selon plusieurs enquêtes et ouvrages (notamment « The Assassination of Robert Maxwell: Israel's Superspy » de Gordon Thomas et Martin Dillon). Il aurait agi comme agent ou facilitateur dans diverses opérations : Vente d’armes à Israël - Capture de criminels nazis (ex. Adolf Eichmann) - Diffusion de logiciels espions comme PROMIS. D’après ces sources, il aurait réclamé 400 millions de dollars au Mossad pour couvrir ses pertes, ce qui aurait motivé son élimination par agent neurotoxique en 1991. Immutation : Son corps a d’abord été exposé dans le hall Binyanei Ha’uma (« Hall of the People »), au cœur de Jérusalem, un acte solennel digne d’un hommage national. Il a été ensuite inhumé au Mont des Oliviers à Jérusalem, un lieu sanctifié dans la tradition juive, traditionnellement réservé aux grandes figures nationales. La cérémonie a rassemblé des personnalités de premier plan : le Premier ministre Yitzhak Shamir ; le Président de l’État d’Israël Chaim Herzog, qui a prononcé l’oraison funèbre ainsi qu’au moins six anciens et chefs des services de renseignement israéliens. 5. Leslie Wexner, né en 1937 à Dayton (Ohio, États-Unis), est un milliardaire américain, fondateur de L Brands (incluant Victoria's Secret), philanthrope et figure influente dans le commerce de détail et la politique républicaine. Liens avec la CIA : en 1986 Wexner a acquis la « Southern Air Transport », une compagnie aérienne historiquement liée à la CIA pour des opérations secrètes dans les années 1980 (Iran-Contra). Il serait le fondateur du « Mega Group » dont les membres auraient facilité les liens entre la CIA, le Mossad et le crime organisé lié à Meyer Lansky (1092-1983) une figure clé du crime organisé américain surnommé « le comptable de la mafia ». 6. Adnan Khashoggi (1935 – 2017), marchand d’armes saoudien multimilliardaire, impliqué dans des scandales internationaux. Il n’a jamais été condamné, bien qu’inculpé en 1988 en Suisse pour dissimulation de fonds (charges réduites) et acquitté en 1990 aux États-Unis de racket et fraude. 7. Dans les années 1950–1960, la CIA collabora avec des parrains tels que Sam Giancana, Johnny Roselli et Santo Trafficante, missionnés pour éliminer Fidel Castro via des tentatives d’assassinat (empoisonnement, cigare au poison, etc.) 8. Sam Giancana, boss de la « Chicago Outfit » (mafia de Chicago) de 1957 à 1966, né le 24 mai 1908 à Chicago et assassiné le 19 juin 1975 à Oak Park, condamné en 1929 pour vol et recel et en 1965 pour outrage à la cour (un an de prison). 9. Johnny Roselli, membre influent de la « Chicago Outfit » qu’il représente à Hollywood et Las Vegas. Né le 4 juillet 1905 en Italie et assassiné le 7 août 1976 (corps retrouvé au large de la Floride). En 1943, Johnny Roselli a été condamné à 10 ans de prison pour racket (exploitation illégale d'entreprises, souvent par intimidation) et extorsion (obtention d'argent par menace ou violence) dans une affaire impliquant des figures de la mafia de Chicago et des extorsions à Hollywood. Il sera libéré sur parole en 1947. Dans les années 1967-1969, il a été impliqué dans un scandale de tricherie aux cartes au « Friars Club » de Los Angeles. Il a été condamné (amende d’environ 55 000 dollars) pour sa participation à cette opération qui a duré plusieurs années. En 1968, il a été condamné pour résidence illégale aux États-Unis en tant qu'immigrant clandestin (né Filippo Sacco en Italie en 1905, entré illégalement en 1922), entraînant des procédures de déportation répétées, qu'il a toujours contrecarrées par des appels judiciaires jusqu'à sa mort en 1976. 10. Santo Trafficante Jr., boss de la famille Trafficante (mafia de Tampa), né le 15 novembre 1914 à Tampa et mort le 17 mars 1987 à Houston après une chirurgie cardiaque, condamné en 1954 pour corruption (peine annulée par la Cour suprême de Floride) et arrêté plusieurs fois pour jeu et racket sans autres condamnations. 11. Selon la quatrième épouse de Rosenstiel, Susan Kaufman, il organisait des parties avec « boy prostitutes » et utilisait ces événements pour filmer ou enregistrer afin de faire du chantage à des personnalités influentes. https://mintpressnews.cn/shocking-origins-jeffrey-epstein-blackmail-roy-cohn/260621/?utm_source=chatgpt.com 12. Friedrich Merz, discours au Bundestag le 14 mai 2025 : « Unser Ziel ist, zukünftig alle finanziellen Mittel zur Verfügung zu stellen, die die Bundeswehr braucht, um konventionell zur stärksten Armee Europas zu werden. »
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Cryptomonnaies : Formation secrète et fondamentale (pas gratuite) « Acheter, conserver, et vendre en sécurité maximale des cryptomonnaies » Prochaine promotion en avril 2025 (si l’idée de nous transmettre une copie de votre pièce d’identité vous offusque, cette formation n’est pas pour vous). Si vous êtes intéressés (nous devrons pouvoir vous contacter sur Signal) envoyez un courriel à Pierre Lefevre à cet effet en cliquant sur : « email de Pierre Lefevre ». |
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Patrick Ledrappier sur X : « Les cryptomonnaies décentralisées représentent, en fait, la seule solution à la fois économique et politique qui nous permettra de nous libérer des politiciens professionnels et des hauts fonctionnaires qui nous pillent du matin au soir, qui organisent le chaos généralisé afin de mieux nous contenir dans la condition d'esclave, et d'assurer nos droits d'être humain et nos libertés fondamentales. Jamais dans l'histoire de l'humanité une telle opportunité n'a été offerte à un peuple... » |
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Nous l’avons écrit en 2020, dès qu’ils ont parlé de « va x ins » à ARNm, et nous étions alors les seuls à le dire et à l’écrire et nous le renouvelons : "Nous insistons sur notre recommandation : surtout, refusez d’être « va xi né » ! Même s’ils finissent par rendre cet empoisonnement obligatoire, mieux vaut payer des amendes, être séquestré chez soi, être condamné à des peines de prison (tout cela est provisoire), que d’être victime de maladies auto-immunes, de cancers ou de modifications du génome aux conséquences inconnues et qui sont définitives. L’ARN messager tiers n’est en aucun cas un vaccin ! Ces injections ne protègent de rien ! Ces injections modifient nos cellules avec de probables atteintes définitives de notre ADN ! Personne ne pourra rien pour vous, si vous tombez malade après ces injections, personne ne pourra vous soigner, il n’existe pas de traitement et vous risquez d’en mourir."
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Le temps de la Résistance active aux mondialistes a sonné, faisons-leur savoir ! Qu’ils cessent d'encaisser des milliards et de roucouler sur nos cadavres !
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