ACTU DES MARCHÉS AU 11 JUILLET 2024 |
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La Bourse Au Quotidien
ACTU DES MARCHÉS AU 11 JUILLET 2024
 

 

L'analyse de Mathieu Lebrun


• Les marchés asiatiques (même si on en parle peu) peuvent être attractifs pour les investisseurs.

• Cette semaine, plusieurs entreprises du continent se sont distinguées par des publications de résultats intéressantes...



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NewTech Insider

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Le moment de revenir sur la Chine ?

[Dans les temps troublés que nous connaissons en ce moment, la Chine peut offrir des opportunités d’investissement pertinentes : l’indice SSE Composite arrive d’ailleurs au terme d’une configuration qui pourrait bien donner lieu à un rebond conséquent... Cliquez ici pour lire l'article.]


En début d’année (fin janvier pour être précis), j’attirais votre attention sur la situation des bourses chinoises, alors que les principaux indices revenaient dans des zones de supports attractives (cf. rectangle jaune sur le graphique ci-dessous du SSE Composite – indice de la bourse de Shanghai – pris en base hebdomadaire).

graph 1
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D’ailleurs, ce timing – loin d’être mauvais – a permis aux abonnés de La Lettre des Affranchis et de La Bourse Au Quotidien Pro de récolter des gains d’une vingtaine de pourcents via mes recommandations.

Si je vous en parle aujourd’hui, c’est qu'il se passe à nouveau quelque chose sur l'indice.

En effet, après plusieurs semaines de baisse d’affilée (tendance comprimée dans un petit canal baissier visible en rouge ci-dessus), le retour du SSE Composite dans une zone horizontale intermédiaire, (correspondant aux anciens creux de 2022 et 2023 – cf. ellipse verte), attire mon attention.

Chine : des signaux qui ne trompent pas

En "dézoomant" un peu, et en passant cette fois sur un graphique en base journalière ci-dessous, on constate qu’à l’époque, nous avions des indicateurs techniques journaliers en situation de divergence haussière (cf. lignes noires).

graph 2
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Et aujourd’hui, on constate que le même schéma se reproduit plus ou moins...

cta


 

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Chris Campbell

 


Votre IA-Médecin va vous recevoir...

[Les médecins ne passent plus suffisamment de temps avec leurs patients. Ce constat amer, relayé par de nombreux malades, remet en cause la modernisation des consultations médicales. Aujourd’hui, certains chercheurs tentent d’utiliser la robotisation pour améliorer les examens et affiner les diagnostics sur l’état de santé général des malades. Les outils d’intelligence artificielle seront-t-ils capables un jour de concurrencer la médecine actuelle ? D’après Chris Campbell, certains d’entre eux donnent déjà des résultats probants. Cliquez ici pour lire l'article.]


Jadis, le docteur venait chez vous. Il entrait, respirait l’air ambiant, évaluait la température de votre logement et son taux d’humidité.

Il remarquait des choses importantes et des choses mineures. Ce qui était propre et ce qui était sale. L’environnement bombardait ses sens de millions de micro perceptions.

Et, ensuite, il examinait le malade.

A cette époque, on ne distinguait pas l’environnement dans lequel vit l’organisme (vous) de l’état de santé dudit organisme.

Comme j’ai une sainte horreur du mot "holistique" ... disons que l’approche de ces médecins était globale.

Mais revenons à nos jours...

Une répartition à 70-30

Le fonctionnement actuel repose sur ce que l’on appelle la répartition à 70-30 : les médecins passent 70 % de leur temps à collecter des informations, et seulement 30 % à prendre des décisions et à communiquer avec le patient.

Ce phénomène est si répandu, si coutumier, que dans la profession médicale, il est considéré comme une constante universelle au même titre que E = MC2, le deuxième principe de la thermodynamique, la gravité, etc.

Mais voilà... D’un point de vue pratique, les informations qu’ils collectent n’ont pas grand-chose à voir avec le fait d’aider les patients à aller mieux.

Les médecins d’aujourd'hui sont noyés dans un océan de données numériques. Ils passent moins de temps avec le patient et plus de temps à cliquer sur des dossiers médicaux numériques interminables pour faire défiler ensuite des résultats d’analyses et déchiffrer des codes médicaux.

Le terme "fatigue du clic" est même apparu, pour dire jusqu’où cela va : "Epuisement physique et mental ressenti à force de cliquer sur la souris et de taper sur le clavier".

C’est d’un ridicule sans précédent, me dit-on.

Les dossiers médicaux numériques – introduits avec cet objectif admirable de rationaliser les soins des patients – sont devenus un labyrinthe de multiples écrans, menus, boutons, formulaires, etc.

SOAP… HL7… FHIR… ICD-10… CCD… CPOE… EOB… PACS… MU… HIE… ADT… Les médecins doivent apprendre par cœur un grand nombre d’acronymes. On pourrait penser qu’ils sont en train de postuler au Département de la Défense (très friand des acronymes).

Et le décalage le plus important est le suivant : certes, il faut des données, mais venir en aide aux humains est une tâche qui fait surtout intervenir le "cerveau droit" . Il faut de l’intuition, de la créativité et d’autres compétences non techniques. Autant de traits faisant généralement défaut aux personnes qui aiment cliquer et taper sur un clavier toute la journée.

D’une certaine façon, nous avons transformé l’art ancestral de soigner les gens en discipline banale et robotisée.  Ironiquement, comme le dit le docteur Conor Judge, les robots peuvent aider à remettre les choses à l’endroit.

L’IA peut-elle réellement aider ?

cta



 

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