| | | L'essentiel du matin | Un tour de l'actualité pour commencer la journée
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| Bonjour à tous. A la une ce vendredi, nos nouvelles révélations dans l'affaire Delphine Jubillar. Au programme également, les éoliennes qui électrisent les élections régionales prévues dimanche, les dérapages en série dans les rangs du RN et la météo orageuse. Bonne lecture, et bonne journée ! |
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Cette édition a été préparée par Claire Hache, cheffe de service adjointe au pôle News
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On en parle | | | ● Cédric Jubillar, un mari au cœur du soupçon. A l’issue d’un minutieux travail d’enquête commencé cet hiver, ponctué par plusieurs rencontres avec le principal intéressé, Le Parisien a retracé le parcours du mari de Delphine Jubillar. Se dessine en creux le portrait d’un homme provocateur et déroutant. Un récit exclusif à retrouver ici. ● Les éoliennes électrisent le débat politique. C’est l’invité surprise des régionales. Les opposants aux éoliennes ont profité à plein de la campagne pour dénoncer les dégâts occasionnés sur les paysages et les nuisances dans les territoires ruraux. La première à en avoir fait son cheval de bataille, c’est Marine Le Pen, qui réclame «un moratoire» sur les nouvelles constructions. Mais face à ces attaques, l’exécutif joue la prudence. Explications. ● Des masques qui tombent, des chiffres qui baissent. Depuis hier, on peut se balader sans masque dans les rues. Cette bonne nouvelle inattendue, annoncée la veille pour le lendemain par Jean Castex, s'accompagne d'un mieux sur le front du Covid. Selon les dernières données, le nombre de patients en soins intensifs a atteint son plus bas niveau depuis octobre. Le taux d’incidence en France continue de chuter pour s’établir à 35 cas pour 100 000 habitants, soit dix fois moins qu’il y a deux mois. ● Six mois ferme requis contre Sarkozy. Après presque un mois de procès dans l'affaire Bygmalion, un an de prison dont la moitié avec sursis ont été requis hier à l’encontre de Nicolas Sarkozy, jugé devant le tribunal correctionnel de Paris. De dix-huit-mois à quatre ans avec sursis ont été requis contre les 13 autres prévenus dans cette affaire qui concerne les dépenses excessives de la campagne présidentielle de l’ex-chef de l’Etat en 2012. ● Alerte aux orages. Bonne nouvelle du côté de la météo : les chaleurs caniculaires vont refluer. Mauvaise nouvelle : des «épisodes pluvio-orageux» parfois violents vont prendre leur place. Ce qui promet un week-end houleux et le retour d’un temps plus frais. Prévisions et explications.
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| «Nicolas Sarkozy peut aussi bien soutenir Macron que Bertrand» | Un cadre de LR proche de l'ancien président
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1 minute pour comprendre | | Fin du couvre-feu : pourquoi l'exécutif a-t-il souhaité attendre trois jours de plus ? | L’info. Jean Castex a annoncé la fin du couvre-feu pour dimanche, avec une dizaine de jours d'avance sur le plan de déconfinement initial du gouvernement. Les Français qui vivent sous couvre-feu depuis octobre 2020 auront donc encore à le supporter trois jours de plus, contrairement au masque en extérieur, dont la fin de l’obligation a été actée hier. Mais pourquoi attendre ?
Ce que dit l’exécutif pour justifier ce délai. «Contrairement à la suppression du port du masque, que l’on peut faire évoluer facilement, l’arrêt du couvre-feu nécessite, lui, plus d’organisation», explique le secrétariat de communication de l’Elysée. «Ce n’est pas le même niveau de mesures, poursuit-il. Le retour à des horaires normaux nécessite par exemple pour les entreprises de s’adapter pour répartir leurs salariés.» Rien à voir avec le dimanche électoral, alors? Il serait tentant d'imaginer que les élections régionales et départementales prévues dimanche ont pesé dans la balance. Mais l'Elysée dément. « La correspondance entre la date choisie pour mettre un terme au couvre-feu et celle des élections régionales est une pure coïncidence. » Cela devrait en tout cas faciliter la tâche des autorités, juge un député macroniste : «Vous imaginez des bureaux de vote dans les grandes villes avec des dépouillements pas encore terminés à 23 heures ? Ça aurait été un vrai bordel.» | |
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