Cher lecteur « réactionnaire et néofasciste »,
Rassurez-vous, ce ne sont pas nos mots, mais ceux de William Bourdon, l’un des avocats du procès Obono qui vous qualifie vous, cher lecteur, de ces joyeux noms d’oiseaux !
Soyez fier de recevoir ces insultes, ils viennent d’une espèce en voie de disparition : le gauchistosaurus qui, voyant la réalité détruire chaque jour un peu plus ses idées ineptes, se raccroche pour survivre, à l’invective, l’insulte et l’outrance ; trinquons à cette bonne nouvelle !
Car oui, c’est une bonne nouvelle et laissons-les nous injurier à mesure que nos idées progressent ; la semaine dernière le procès Obono fut une magistrale démonstration par eux-même de la médiocrité de ce qu’est devenue la gauche.
En vrac, quelques perles de bêtise et de haine :
Le député LFI Eric Coquerel, à quelques heures du procès : « j’espère que ce procès va les étrangler ».
Que de paix et d’amour !
Les avocats des parties civiles : « littérature perverse », « viol symbolique », « présence trop nombreuse d’hommes blancs » (dans votre journal), l’auteur du texte lui serait un « pervers sadique » et nos lecteurs, vous, des « réactionnaires et des néofascistes ».
Que d’arguments de fond !
Réjouissons-nous, nos idées ont le vent en poupe et ils le savent !
La dynamique est de notre côté et ça les rend chèvre ; la lumière est au bout du tunnel et les français ouvrent petit à petit les yeux.
Participez à cette dynamique !
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