En fait en se replongeant dans l’histoire du géant américain, on se rend compte qu’il a très souvent été dans la même situation. Il n’avait pas la meilleure interface graphique (face à celles des Mac notamment), mais il s’est imposé. Son système Windows Server était régulièrement cloué au pilori par les historiques d’IBM ou de Sun. Son système d’exploitation était -pour beaucoup- bien inférieur à ce que proposait l’open source, ses bases de données SQL moins performantes que les bases Oracle ou IBM, ses applications moins fortes que SAP et Oracle, son cloud Azure était moins riche que celui d’AWS, etc, etc. Et aujourd’hui c’est au tour de la cyber de subir le feu de la concurrence. Pour réussir, il sait reproduit certaines de ses bonnes recettes comme en cyber par exemple, où il attire des développeurs et de nouveaux experts via ses filières de formation (dont une menée avec le français Simplon).