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Mardi 27 septembre 2022 |
| • Biden et Powell sont comme deux parents qui se disputent • Et cela n'a rien de rassurant pour nous
• Mais Zach vous dit comment mettre votre épargne à l'abri de cet orage
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| Biden/Powell : il y a de l'orage dans l'air !
Un fossé se creuse entre Jerome Powell, le président de la Fed et Joe Biden. La lutte contre l'inflation cristallise un conflit d'intérêts où chacune des parties a des objectifs complètement opposés. Et nous risquons bien d'être les dindons de la farce... [Cliquez ici pour lire l'article...] Rien ne va plus, entre Joe Biden et le président de la Fed. Et cela sent mauvais pour nous... Ils agissent comme des parents qui se chamaillent à l'avant de la voiture, alors que les enfants (nous, dans ce cas) regardent, horrifiés, le véhicule quitter la route. C'est une situation précaire qui s'accompagne de beaucoup de risques, pour votre retraite et vos investissements. Voilà pourquoi vous devez être extrêmement prudent jusqu'à ce que l'on sache qui sera le vainqueur de cette guéguerre... Deux calendriers conflictuels Si vous observez le marché, la politique ou notre économie cette année, vous savez que nous avons un gros problème d'inflation. Les prix augmentent nettement en raison des problèmes de chaîne d'approvisionnement, des plans de relance du gouvernement et d'une crise énergétique mondiale. Le rôle de la Réserve fédérale est de contrôler l'inflation, tout en favorisant le dynamisme du marché de l'emploi. Ainsi, notre économie peut progresser sainement et les familles comme la vôtre et la mienne peuvent régler leurs dépenses quotidiennes. Dans un contexte de flambée de l'inflation, la Fed relève les taux, afin de freiner l'économie. On peut débattre de la question de savoir jusqu'à quel point la Fed doit relever les taux, mais son président, Jerome Powell, fait de son mieux pour combattre l'inflation. Dans le même temps, le président Joe Biden adopte une approche totalement différente. En tant que politiciens, les membres du gouvernement Biden essaient de faire plaisir à la population qui – c'est certain – est mise en difficulté par l'inflation. Mais au lieu de combattre le problème en soi – une économie qui a trop d'argent à dépenser et qui court après des biens et services trop rares –, Joe Biden l'alimente. Son gouvernement continue d'encourager les plans de dépenses tels que les lois CHIPS Act et Inflation Reduction Act. Joe Biden est également en train d'effacer les prêts des étudiants, ce qui libère encore plus d'argent susceptible d'attiser l'inflation. Selon une autre métaphore, Powell est un peu comme un médecin qui veut accomplir un acte chirurgical douloureux (mais nécessaire !), alors que Biden préfère bourrer le patient de morphine en croisant les doigts pour qu'il se rétablisse. Jerome Powell pousse peut-être les choses un peu trop loin mais, au moins, il essaie de régler le problème. En revanche, le président américain aggrave la situation en faisant affluer encore plus d'argent au sein de l'économie via les plans de dépenses. Qui est vraiment perdant quand les dirigeants sont en désaccord ? NOUS ! Pour savoir comment éviter de payer les pots cassés, lisez la suite de l'article...
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Pourquoi les alarmistes se trompent
Et si Cicéron quittait Rome pour rendre visite à Thomas Jefferson, dans sa Virginie natale, 1 800 ans plus tard ? Aurait-il l'impression de débarquer dans une autre dimension, dans un monde étrange sans queue ni tête ? Selon Alexander Green, pas du tout... [Cliquez ici pour lire l'article...] Il est communément admis, à tort, que le progrès et la prospérité accrus sont la norme depuis que les êtres humains existent. L'histoire montre que cela est absolument faux. Imaginez, par exemple, que l'homme d'État romain Cicéron en l'an 50 av. J.-C. ait été invité par magie à rendre visite à Thomas Jefferson, à Monticello, plus de 1 800 ans plus tard. Il se serait déplacé à cheval jusqu'au port le plus proche et aurait confié son sort à un navire guidé par le vent. Quand il serait arrivé à Monticello des mois plus tard, les choses sembleraient assez familières. La maison de Jefferson aurait été chauffée par le feu en hiver, les portes et les fenêtres laissées ouvertes en été, comme dans la Rome antique. Jefferson aurait lu à la lueur des bougies, aurait mangé surtout ce qu'il cultivait dans une serre extérieur, grâce au travail de ses esclaves, comme les Romains, dix-huit siècles plus tôt. Cicéron aurait appris que la plupart des six enfants de Jefferson n'avaient pas survécu à la petite enfance. Rien de nouveau, ici non plus. Ce fut malheureusement le cas pour la majeure partie de l'Histoire humaine. À l'exception de quelques innovations notables – comme l'imprimerie, la poudre à canon et la boussole – la vie en l'an 1800 n'était guère différente à celle vécue deux millénaires plus tôt par les Romains. Cependant, depuis 1800, les progrès humains et la prospérité ont connu un essor considérable. Cette période qui a commencé il y a plus de 200 ans, l'historienne économiste Deirdre McCloskey l'appelle le "Great Enrichment" (grand enrichissement). Quésako ? Réponse par ici...
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