| Titre restaurant : l’UMIH souhaite privilégier les négociationsA quelques jours de la réouverture des restaurants, l'UMIH vous rappelle que l’augmentation du plafond de paiement en titres restaurant à 38 euros a été prolongée jusqu’au mois de septembre 2021. Cet assouplissement réservé au monde la restauration permettra d’inciter les salariés et leurs familles à consommer dans nos établissements (y compris en dehors des jours de travail), en utilisant leurs titres restaurants nouvellement émis et ceux non utilisés durant les différentes périodes de confinement. Dans ce cadre, l'UMIH a demandé au ministre Griset que ce relèvement temporaire du plafond d’utilisation des titres puisse être pérennisé pour tous les restaurants au-delà du mois de septembre 2021. Cette mesure permettra de stimuler la consommation et deviendra encore plus intéressante avec l’obtention d’une baisse conséquente des commissions. S’agissant de l’action engagée par le GNI et le cabinet TRANSATLANTIS contre les émetteurs de titres restaurant Edenred, Natixis, Sodexo, Up, l’UMIH souhaite pour le moment privilégier les négociations avec ces 4 émetteurs afin d’obtenir une baisse très significative des commissions pour ses seuls adhérents. En fonction des résultats obtenus, l’UMIH se réserve le droit d’engager toute action de nature à protéger les intérêts de ses adhérents. |
| Les UMIH déposent au Conseil d’Etat un référé pour ouvrir les discothèques le 30 juin L’UMIH Nuit, l’UMIH Rhône, l’UMIH Lot et Garonne, l’UMIH Loire Atlantique, l’UMIH Puys de Dôme, l’UMIH Pays Basque, l’UMIH Morbihan et l’UMIH Loir et Cher, représentants d’exploitants de discothèques ont introduit hier un référé-liberté devant le Conseil d’Etat en vue de permettre la réouverture des établissements de nuit. Le référé-liberté demande au Conseil d'Etat d’intégrer en urgence les établissements de nuit dans le plan de déconfinement au même titre que les concerts et les mariages. En effet, ces derniers vont pouvoir se tenir librement à compter du 30 juin, alors qu'ils se déroulent de la même manière, en lieux clos, dans un contexte festif, avec de la danse et des boissons alcoolisées. Sur quel fondement peut-il légitimement être invoqué un respect des gestes barrières dans un cas, et un risque de propagation épidémique dans l'autre ? La requête insiste sur la discrimination dont sont victimes les discothèques, seul secteur d’activité à n'avoir aucune date de réouverture. Cette requête vise aussi à faire reconnaître par le Conseil d’Etat l’absence de mesures économiques justes et adaptées aux discothèques, dès lors que leur fermeture décidée par l'Etat depuis plus de 13 mois entache les principes constitutionnels et conventionnels de leur droit de propriété. Lire l'article |
REPORT - Automne 2021Assemblée générale UMIH 61 | Webinaire Notel - UMIH20 mai 2021 |
|
Si vous ne souhaitez plus recevoir cette lettre d'information, merci de nous en informer par mail à l'adresse suivante [email protected]. |
|