🚀 L’IA dans le marketing est-il un investissement rentable ? Pour en savoir plus, retrouvez notre partenaire Brevo au One to One → Brevo Lounge - Forum 0 |
|
Cette newsletter vous est offerte par notre partenaire
|
|
Mercredi 13 Mars 2024 🎂 Bon anniversaire à Carine BARBELIVIEN (CO DESIGN IT), Bruno LEVEQUE (MEOWTEL) Laurent BOURGITTEAU GUIARD (INR), Stanislas de QUERCIZE (SAVIH). |
|
Frédéric DUVAL, DG AMAZON FRANCE |
|
AMAZON continue son projet d’implantation à LYON, IA: Mistral n’abandonnera pas l’open source. |
|
IA: Mistral n’abandonnera pas l’open source, souligne la start-up française La start-up Mistral AI, championne française et européenne de l’IA, a assuré mardi qu’elle ne comptait pas « abandonner » le principe du libre accès au code, ou « open source », après avoir lancé avec Microsoft une offre payante de sa technologie. Cette annonce intervient alors que le milliardaire Elon Musk a porté plainte début mars contre OpenAI — le créateur de ChatGPT, qui a aussi des liens étroits avec Microsoft — et ses cofondateurs Sam Altman et Greg Brockman, leur reprochant d’avoir abandonné la mission originelle de la société. « Le but n’est pas d’abandonner l’open source », a déclaré Audrey Herblin-Stoop, directrice des affaires publiques de la société française Mistral AI, lors d’un événement organisé par Microsoft à Paris. « On est assez convaincu » que l’accès libre va soutenir l’écosystème européen autour de l’IA et être un « vivier d’innovation » sur le vieux continent, en retard par rapport aux Etats-Unis, a-t-elle détaillé. Par ailleurs, « il faut qu’on soit transparent » et « qu’on permette d’ouvrir le capot » de cette « technologie révolutionnaire » qu’est l’intelligence artificielle générative et « c’est l’open source qui permet ça », a-t-elle ajouté. La société française, valorisée à quelque 2 milliards de dollars selon des sources financières, a présenté fin février un troisième modèle de langage, « Mistral Large », et annoncé un partenariat avec Microsoft. Le modèle Mistral Large, aux performances comparables à GPT-4 du pionnier OpenAI, selon Mistral, est disponible pour les clients d’Azure AI, la plateforme de Microsoft. Fin février, dans un entretien au Monde, le cofondateur de Mistral, Arthur Mensch, avait déjà réfuté l’idée d’un abandon de l’open source malgré le lancement d’une offre payante. « Nous avons commencé par des modèles open source, que tout le monde peut déployer gratuitement, car c’est une manière de les diffuser largement et de créer de la demande », avait-il expliqué. « Mais nous avons, dès le début, prévu un modèle économique avec des modèles optimisés » plus puissants. « L’activité commerciale nous permettra de financer la recherche coûteuse nécessaire au développement de modèles » et « nous continuerons d’avoir deux gammes », avait-il précisé. Le lancement de ChatGPT, puis la publication d’autres modèles outre-Atlantique, avaient déclenché une course contre la montre côté européen. Créée en avril 2023, Mistral AI, dont les trois fondateurs français sont issus des rangs de Meta (maison mère de Facebook) et de Google, a toujours assumé sa volonté de proposer une alternative aux modèles des grandes entreprises américaines de la « tech ». |
|
Un projet de plateforme géante d’Amazon, près de Lyon, avance malgré les oppositions Le projet de construction d’une plateforme logistique géante d’Amazon dans l’Est lyonnais, qui avait fait l’objet de recours devant la justice, devrait voir le jour au dernier trimestre 2026 au plus tôt et a été récemment présenté aux instances représentatives du personnel, a appris une journaliste de l’AFP de source proche du dossier. Ce projet de centre de distribution est prévu près de l’aéroport de Saint-Exupéry, à Colombier-Saugnieu, et devrait occuper une surface comprise entre 75.000 et 80.000 m² au sol, pour un total de 150.000 m² de surface sur plusieurs étages, selon cette même source. « Nous cherchons continuellement à développer notre réseau logistique afin d’améliorer l’expérience clients et étudions actuellement la possibilité d’ouvrir un centre de distribution dans l’Est lyonnais », a confirmé mardi Amazon, sollicité par l’AFP. Il avait fait l’objet d’un recours conjoint de l’Acenas (Association contre l’extension et les nuisances de l’aéroport Lyon-Saint-Exupéry) et de l’association Fracture qui demandaient au tribunal administratif de Lyon l’annulation du permis de construire accordé au promoteur Goodman France. Les associations soulignaient l’insuffisance de l’étude d’impact en ce qui concerne les conséquences d’une chute éventuelle d’aéronef sur le site, argumenté rejeté par la justice en novembre 2019. En juin de la même année, les deux associations, inquiètes des nuisances environnementales liées à l’implantation de ce projet XXL, avaient tenté de faire annuler en urgence le permis de construire. Sans succès. Côté employés, le projet inquiète aussi: « On se pose la question de l’espérance de vie en 2027 » des centres proches de celui de Colombier-Saugnieu, a déclaré mardi un syndicaliste qui a requis l’anonymat auprès de l’AFP. Il dit craindre que ce nouveau projet n’ait un impact négatif sur les effectifs de deux autres centres situés à proximité, celui de Chalons-sur-Saône (Saône-et-Loire) et Montélimar (Drôme), qui emploient environ 1.500 salariés. « Afin de répondre à la demande client, Amazon étudie des opportunités d’étendre ses capacités logistiques en France, créant ainsi de nombreux emplois, tout en continuant de s’appuyer sur son réseau existant », a réagi l’entreprise dans la soirée de mardi. Le comité interministériel de l’intelligence artificielle rend son rapport cette après midi au Président Emmanuel MACRON Inauguré par la Première ministre française le 19 septembre 2023, pour conseiller le gouvernement et positionner la France à la pointe de l’IA, ce comité inclu des personnalités de divers secteurs. Le comité bénéficie également de l’expertise de Guillaume Avrin, coordonnateur national pour l’intelligence artificielle, et s’appuie sur une équipe de douze rapporteurs issus de divers ministères et institutions. Les travaux sont coordonnés par Cyprien Canivenc, conseiller référendaire à la Cour des comptes, et Arno Amabile, ingénieur des mines. |
|
En Bref La première ministre italienne, Giorgia MELONI annonce la création d’un fonds doté d’un milliard d’euros pour financer des projets d’intelligence artificielle. La société Kite, spécialisée dans le build up d’entreprises de e-commerce et cofondée par Blackstone en 2022 a cessé ses activités en 2024 après avoir investis 200 millions de dollars |
|
BREVO annonce BREVO COMMERCE SUITE, sa solution de communication omnicanale à destination des marques. |
|
En matière d’engagement client, Brevo se distingue par sa capacité à harmoniser les interactions entre marques et consommateurs à travers une suite complète de solutions de marketing conversationnel. En mettant l’accent sur l’omnicanalité, Brevo permet aux entreprises de se connecter avec leur clientèle où qu’elle soit, que ce soit via WhatsApp, email, SMS, ou encore les réseaux sociaux, offrant ainsi une expérience fluide et cohérente. A l’occasion de l’annonce de sa solution destinée aux acteurs du Retail et de l’eCommerce, nous recevons en parallèle de la conférence ONE 2 ONE Monaco Mickael Arias, Chief Revenue Officer de BREVO. |
|
Le RETAIL MEDIA émerge comme une opportunité pour les acteurs du commerce de détail. Avec un potentiel de marché global estimé à 176 milliards de dollars d’ici 2028, contre 125 milliards en 2023, et une croissance européenne attendue à 30% hors Amazon d’ici 2026, le retail media offre aux retailers une chance unique de générer des revenus publicitaires exceptionnels, avec des marges de 70 à 90%. Pour capitaliser sur cette opportunité, les retailers doivent adopter une approche gagnant-gagnant-gagnant, assurant des bénéfices pour eux-mêmes, les annonceurs et les consommateurs, tout en s’associant à des experts technologiques alignés sur leur vision. JARGONATOR Le RETAIL MEDIA désigne les pratiques publicitaires et promotionnelles réalisées directement sur les plateformes de vente au détail en ligne ou dans les espaces physiques des détaillants. Cette forme de publicité permet aux marques de cibler les consommateurs au moment le plus pertinent: lorsqu’ils sont déjà en train de chercher à acheter ou sont prêts à effectuer un achat. En d’autres termes, le retail media place les produits des annonceurs devant les yeux des consommateurs au sein même de l’écosystème de vente, que ce soit sur un site e-commerce, une application mobile de shopping, ou au travers des écrans et panneaux publicitaires dans les magasins physiques. |
|
Cartes d’entreprises, notes de frais, factures fournisseurs, multi-entités… |
|
PAYHAWK est la solution tout-en-un pour la gestion des dépenses d’entreprise. Connectée à votre ERP ou votre logiciel comptable, Payhawk simplifie le quotidien des équipes Finance en leur permettant de mieux contrôler les frais professionnels. La plateforme est pensée pour une utilisation agile grâce à des fonctionnalités telles que l’automatisation de la saisie comptable et des rapprochements bancaires, la personnalisation des workflows d’approbation, le suivi budgétaire en temps réel ou encore le frenchcalcul des émissions de CO2 des dépenses par carte. Payhawk compte parmi ses clients Vinted, Alma, Sorare, Flink, Babbel et La Rosée. Vous êtes CFO et souhaitez vous affranchir de vos tâches manuelles et chronophages ? |
|
📡 Le gendarme des assurances demande la clarification des contrats sur les risques cyber L’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) demande lundi aux assureurs de clarifier les clauses de leurs contrats concernant le remboursement des risques cyber comme les rançongiciels, ou les dégâts causés par un logiciel malveillant. Après une première enquête sur l’assurance des risques cyber en 2018, qui avait mis en évidence l’existence de « couvertures implicites », c’est-à-dire où l’identification de ces garanties « n’était pas systématique » et « l’incertitude sur l’existence et l’étendue de la couverture » faisait courir un risque financier à la fois aux assureurs et aux assurés, le gendarme des banques et des assurances « appelle les assureurs à poursuivre leurs efforts pour clarifier la couverture du risque cyber dans les contrats ». Elle appelle à « la mise en place de démarches de modification des contrats concernés », notamment dans ceux qui ne sont pas entièrement dédiés à la couverture de ce risque. Car certains organismes interrogés ne paraissent pas encore en mesure de « quantifier exhaustivement le risque porté par les couvertures cyber des contrats qui ne sont pas entièrement dédiés à la couverture de ce risque », indique l’ACPR. L’ACPR demande ainsi « à ceux qui ne l’auraient pas encore fait », « l’identification de l’ensemble des couvertures cyber et, le cas échéant, la clarification des clauses contractuelles » afin d’éliminer toute « ambiguïté juridique ». L’Autorité, adossée à la Banque de France, demande également « la vérification que le maintien de couvertures implicites représente un risque maîtrisé ». En France, 546 enquêtes concernant des attaques aux rançongiciels ont été ouvertes en 2023, soit 30% de hausse par rapport à 2022, selon le parquet de Paris qui a compétence nationale. |
|
Ask A VC : qu’est ce qu’une bonne présentation investisseur ? L’objectif d’un deck est d’obtenir une réunion en face à face (de visu ou en vidéo) avec un investisseur. Il ne devrait pas être votre biographie complète; vous aurez amplement le temps de détailler à l’investisseur plus tard toutes les complexités de votre projet. Cependant, vous devez transmettre suffisamment d’informations pour lui donner l’envie de vous rencontrer et d’explorer l’opportunité plus avant. Découvrir comment structurer votre présentation ? |
|
La DATAROOM s’enrichit cette semaine de son onglet Fonds d’investissement 🚀 Vous êtes un fonds d’investissement mais aussi un incubateur, accélérateur de startups ? Pour promouvoir votre activité auprès des startups de l’écosystème, inscrivez vous gratuitement dans notre DATAROOM |
|
Le concepteur de puces RISC-V, SiFive, a enregistré un chiffre d’affaires de 38,2 millions de dollars en 2023, une perte nette d’exploitation de 113,1 millions de dollars et prévoit d’augmenter ses revenus de licence à 60 millions de dollars cette année. MATCH et BUMBLE ont perdu plus de 40 milliards de dollars en valeur de marché depuis 2021, alors qu’ils peinent à augmenter leurs revenus d’abonnement, qui s’élèvent à environ 4,2 milliards de dollars en 2023. Le groupe de défense Leonardo veut se transformer en acteur de « sécurité globale ». Le groupe italien d’aéronautique et de défense Leonardo a présenté mardi son plan industriel sur cinq ans pour se muer en acteur de « sécurité globale », en misant sur la « numérisation massive » et des acquisitions dans le spatial et la cybersécurité. Le recours croissant au cloud (informatique à distance), à l’intelligence artificielle, à la cybersécurisation du produit dès sa conception ont « radicalement changé les schémas et les perspectives dans les scénarios internationaux, introduisant un nouveau concept de sécurité globale qui va au-delà du concept traditionnel de défense », argue le groupe, ce qui implique « d’importants efforts pour adapter la technologie ». Leonardo (ex-Finmeccanica) est l’un des principaux groupes internationaux dans le domaine de l’armement et de l’aéronautique et fabrique notamment radars, hélicoptères, avions militaires et aérostructures. D’ici 2028, il entend devenir une « entreprise travaillant dans un environnement transverse multidomaines alimenté par la numérisation et l’intelligence artificielle ». Il entend donc concentrer sa recherche-développement sur les technologies innovantes (IA, cloud, supercalculateurs) et nouer « des alliances internationales et partenariats stratégiques ». Le plan industriel 2024-2028 prévoit une croissance annuelle de son chiffre d’affaires de 6% pour atteindre 21,3 milliards d’euros en 2028. Il était de 15,3 milliards en 2023. Pour 2024, Leonardo vise des revenus de 16,8 milliards d’euros, notamment avec la consolidation dans ses comptes de sa coentreprise Telespazio, qui représente près de 700 millions de chiffre d’affaires. Le groupe table également sur une croissance annuelle de ses commandes de 4% pour atteindre 22,6 milliards d’euros. Celles-ci s’établissaient à 17,9 milliards l’an passé. Elles devraient s’établir autour de 19,5 milliards en 2024, notamment tirées par sa branche électronique de défense et la sécurité à la faveur de la hausse des budgets militaires dans le monde Sa marge opérationnelle doit passer de 8,4% l’an passé à 11,5% en 2028. « Cet objectif sera atteint grâce à une numérisation et une rationalisation massives des produits et des services, à des gains d’efficacité et à des initiatives de réduction des coûts à l’échelle du groupe – avec un objectif de 1,8 milliard d’euros d’économies brutes sur la durée du plan – et à une croissance inorganique », explique son directeur général Roberto Cingolani. Le groupe a publié mardi un bénéfice net de 695 millions d’euros en 2023, en baisse de 25,4%. Celui de l’année précédente avait été gonflé par des plus-values provenant de cessions de certaines activités aux Etats-Unis. |
|
Altospam, acteur historique de la cybersécurité en France, spécialisé dans la lutte contre le spam, le phishing et les ransomwares, recrute Paul-Louis Vincenti au poste de Directeur technique... Retrouvez toutes les nominations du jour dans notre rubrique MOUVEMENTS |
|
|
|
|