Dernière ligne droite
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| Le 3 novembre, l'élection présidentielle américaine se jouera dans ces 8 États | Si certains États restent toujours fidèles à un parti (l’Alaska, le Kansas ou l’Idaho pour les républicains, le district de Columbia pour les démocrates), d’autres changent très régulièrement d’allégeance, à l’image de la Floride ou de l’Ohio. Ce sont les fameux swing states. Mais dans le contexte hautement incertain de l’épidémie de coronavirus, d'autres territoires, jusqu'ici réputés acquis à l'un des deux camps ou qui avaient basculé en 2016, pourraient cette année totalement changer la donne. | |
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| Comprendre l'élection présidentielle de 2020 à la lumière de celle de 2016 | "Il y a quatre ans, les critiques se sont abattus sur les sondeurs et experts de la vie politique américaine : leurs prédictions, disait-on, avaient été totalement invalidées par la victoire de Donald Trump. C’est mal comprendre la science électorale et les mathématiques, qui donnaient, à la veille de l’élection, presque 30% de chances à Trump d’être élu", rappelle Soufian Alsabbagh, spécialiste de la politique intérieure des Etats-Unis et auteur de "La Nouvelle Droite Américaine". S'il veut être réélu en 2020, note l'enseignant en géopolitique à New York, "Donald Trump doit à tout prix défendre sa carte électorale de 2016". Et c'est loin d'être joué. Explications. | |
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| Ce qui deviendra irréversible si Donald Trump est réélu le 3 novembre | Malgré une gestion chaotique de la crise sanitaire, l'exacerbation des tensions raciales dans le pays, et même s’il est distancé dans les sondages, Donald Trump bénéficie toujours d’une base électorale solide. D’un point de vue historique, il est d'ailleurs très rare que les électeurs empêchent un président sortant de faire un deuxième mandat. Climat, course à l'armement, Cour suprême... Voici ce que les démocrates américains ne pourront jamais rattraper en cas de défaite de Joe Biden. | |
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| Cinquante nuances de triche : comment l'élection américaine pourrait être faussée | En route vers la grande magouille. Au terme d’une campagne insipide au niveau des idées, vampirisée par le coronavirus et le concours de popularité entre Joe Biden et Donald Trump, le piètre spectacle offert depuis quatre ans risque de perdurer jusque dans les urnes du fait de nombreuses initiatives visant à décourager les Américains d’aller voter ou à rendre leurs bulletins irrecevables. Fausses urnes, engorgement des bureaux de vote, campagnes de désinformation... Petit tour d’horizon des manœuvres qui se mettent progressivement en branle outre-Atlantique. | |
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| Comment les mèmes "Make America Great Again" enrichissent des ados de droite | Casey, un lycéen new-yorkais de 16 ans, a engrangé plus de 90.000 nouveaux abonnés Instagram depuis le début de l’année. Sur son compte @FuriousPatriot, il produit à la chaîne des mèmes qui chantent les louanges de Donald Trump et ridiculisent les Démocrates et les médias traditionnels. Casey fait partie d’un vaste réseau de créateurs de mèmes avides de publicités qui, fort de millions d’abonnés, cherchent la croissance à tout prix en déversant un torrent de pièges à clics dont le contenu va de la satire politique à la désinformation. Une petite entreprise florissante de propagande qui met en lumière le rôle que jouent les réseaux sociaux dans la polarisation de l'élection, en encourageant la propagation d’une agitprop hyper partisane. | |
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| Sondages, analyses, news... Notre dossier spécial sur les élections américaines | Qui fait la course en tête à quelques jours du scrutin? Pourquoi Hillary Clinton votera deux fois pour Joe Biden? Pourquoi les armes à feu se vendent comme des petits pains avant l'élection? Comment le vote anticipé peut changer la donne? Retrouvez l'intégralité de notre dossier spécial consacré aux élections américaines de novembre. | |
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