| Mobilité électrique et smart grids : une synergie à développer | Quelles prévisions d'effectifs pour les lycées franciliens ? | La mortalité par cancer baisse en Île-de-France |
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| | | | | | | | | | | Véhicules électriques et réseaux intelligents sur la même longueur d'onde | | | | La mobilité électrique se développe de manière rapide mais pose les défis de l’augmentation de la demande d’électricité et des sources d’énergie mobilisées. Dans le même temps, les smart grids, ces réseaux électriques « intelligents », capables d’optimiser le triptyque production-stockage-consommation, tentent de se développer. Les deux trouvent ainsi des intérêts communs à se déployer concomitamment. Dans le but d’expérimenter des smart grids couplés à des flottes de véhicules électriques, L’Institut s’est engagé dans le projet européen CleanMobilEnergy. Ce projet permettra d'évaluer une possible application en Île-de-France | | | | |
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| | | | | | Quelles prévisions d'effectifs pour les lycées franciliens ? | | | | La construction de logements combinée à l'évolution démographique des jeunes en âge d'aller au lycée (15-18 ans) sont des données stratégiques pour anticiper les besoins en places des lycées. En Île-de-France, la construction de logements est plutôt dynamique : 30 % supérieure ces cinq dernières années par rapport aux cinq années précédentes. Par ailleurs, depuis l’an 2000, les naissances ont toujours été supérieures à 170 000 et ont même atteint un maximum de 184 000 en 2010. Afin d'éclairer la décision publique, notamment celle du Conseil régional, compétent sur la gestion des lycées, L'Institut a réalisé des projections départementales et des analyses plus fines sur 18 territoires d'attention. | | | | |
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| | | | En route pour 2021 ! | | | | L’Institut continuera, en 2021, d'être en première ligne pour observer et rendre compte des changements majeurs qui s’opèrent sous l’effet combiné de la crise sanitaire et économique : évolution de la mobilité, modification des comportements et des aspirations, nouvelles tendances de localisation des habitants et des emplois, déstabilisation de pans entiers de l’économie, fragilisation sociale… Dans le même temps, L’Institut éclairera les grands enjeux de la transition écologique, plus urgente que jamais, selon la trilogie « ZAN, ZEN et circulaire ». Fort de ses équipes pluridisciplinaires, L'Institut va donc poursuivre son appui auprès de la Région et l’ensemble de ses membres et partenaires dans la conception et la mise en œuvre de politiques publiques. Les plans de relance et les réponses aux attentes sociales seront le fil rouge du programme de travail. | | | | |
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| | | | | | Le groupe La Poste joue la carte du ZEN | | | | Dans le cadre de nos rencontres sur l'objectif « zéro émissions nettes » (3e rencontre ce 4 février), l'AREC (département Énergie-climat de L'Institut) identifie des initiatives remarquables d'acteurs privés ou de collectivités, engagés dans la réduction d'émissions de gaz à effet de serre. Le groupe La Poste, qui a adopté un modèle multi-activités, a cherché, dès 2010, à transformer ses offres et ses modes de fonctionnement pour intégrer les enjeux du changement climatique et de la transition énergétique. La fiche disponible en ligne détaille les différents aspects des actions menées en ce sens. Une autre fiche sur l’agglomération de La Rochelle est également consultable. | | | | |
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| | | | | | La mortalité par cancer baisse en Île-de-France | | | | À l'occasion de la journée mondiale contre le cancer ce 4 février, l'ORS Île-de-France (département Santé de L'institut) publie une série de chiffres clés sur la situation francilienne. Bien que 54 000 nouveaux cas soient diagnostiqués chaque année, les taux de mortalité sont en baisse depuis 1990. Par ailleurs, près de 500 000 Franciliens sont sous surveillance pour cancer, 55 % sont des femmes. | | | | |
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| | | | | | Plus de 84 000 emplois dans la filière du sport en Île‑de‑France | | | | L’Île-de-France rassemble 19 % des emplois sportifs français, répartis entre l'organisation des pratiques sportives et les activités en amont de celles-ci (en 2017). Avec 6 600 établissements employeurs, la filière du sport dégage une richesse évaluée à 1,9 milliard d’euros, soit 0,5 % de l’économie francilienne. La présence de nombreux sièges de fédérations et de grands clubs sportifs conduit Paris à concentrer plus d’un tiers des emplois sportifs franciliens. En dix ans, la croissance de ces emplois (+ 2,6 %) a été soutenue par le développement des métiers de moniteurs et éducateurs sportifs. Les conditions de travail sont toutefois moins favorables dans ces métiers. En outre, le salaire net horaire médian de la filière est plus faible que dans l’ensemble de l’économie francilienne. Ces constats sont extraits d'une étude qui vient de paraître, menée par l'Insee et l'IRDS (département Sport de L'Institut Paris Region). | | | | |
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