La majorité de la population ne s’intéresse pas encore assez aux Cryptos, alors qu’elles vont changer nos vies et nos sociétés de façon profonde ces dix prochaines années.
Il faut dire que les médias n’arrangent pas les choses. Je lis régulièrement des critiques inexactes, infondées voire carrément fausses sur ce sujet.
Le plus souvent, ces critiques proviennent de ceux qui vont perdre avec l'arrivée d'un système transparent et automatisé :
gouvernements,
banques centrales,
banques privées.
Dans cette lettre, je voudrais vous parler de 5 mensonges entendus dans le bruit général autour des Cryptos, en tâchant de dénouer le vrai du faux.
Mensonge n°1 : “Le Bitcoin est trop volatile”
Au moindre écart de prix, les médias s’empressent d’annoncer la chute du Bitcoin, et de mettre en avant la « volatilité extrême » d’un actif « à haut-risque ».
Mais ces annonces sont souvent plus excessives que les marchés eux-mêmes !
Dans les faits, depuis 2013, la tendance générale du Bitcoin n’a jamais changée et cela le rend infiniment plus fiable que tous les autres actifs financiers, dont la tendance est souvent très aléatoire.
La tendance du Bitcoin est long-terme est haussière, et stable.
Tout dépend donc du rythme où vous investissez.
Si vous investissez à long-terme, il n’y a presque aucun investissement aussi prévisible et régulière à long-terme :
La tendance haussière long-terme du Bitcoin est très régulière (échelle logarithmique)
Maintenant si vous tradez et investissez de façon quotidienne, il est vrai que les Cryptos ont attiré tellement d’investisseurs traditionnels que leurs mouvements quotidiens sont désormais très proches de la Bourse.
Proches du CAC40… Mais avec des rendements de +40% à +2 500% l’an dernier, si l’on prend les plus grosses Cryptos mondiales !
Mensonge n°2 : “Les Cryptos sont opaques”
Cette critique vient notamment de la BRI, une institution quasi-secrète qui fonctionne à huis clos depuis sa création en 1930, sans aucun accord démocratique.
La BRI affirme promouvoir «la stabilité monétaire et financière mondiale par la coopération internationale », et supervise presque tous les paiements du monde occidental.
Il n’existe aucun compte rendu public de ses débats ou conversations, et on observe juste que sur son conseil, les banques centrales impriment des milliers de milliards d’euros depuis des années.
Autant de politiques qui créent l’appauvrissement de la population, et de futures crises d’inflation.
A l’inverse, le réseau Bitcoin est décentralisé et transparent, avec pour but une meilleure répartition des richesses et un système de gouvernance plus équitable.
Alors forcément, nos dirigeants qui fonctionnent sur le principe du secret détestent une telle ouverture.
Maintenant, prenons l’exemple du Bitcoin, dont l’offre maximale en circulation est de 21 millions d’unités. Il est totalement impossible de modifier ce montant ainsi que le rythme d’émission, même pour un organe « tout-puissant » comme la Banque Centrale Européenne ou la BRI.
En revanche, il suffit de quelques clics pour voir dans quels portefeuilles se trouvent chaque Bitcoin déjà émis, comprendre la quantité en circulation, détenue par les plateformes d’échanges ou encore bloquée dans des portefeuilles inactifs depuis leur création.
C’est lié à l’autre argument-massue brandi par nos autorités, dès qu’elles veulent bloquer la liberté des Cryptos :
Mensonge n°3 : “Le Bitcoin permet le crime organisé”
Cette phrase est bien sûr une manipulation politique bien connue.
Les criminels sont toujours les premiers évoqués, quand il s’agit de restreindre les libertés publiques des citoyens.
Les Cryptos sont surtout une énorme épine dans le pied pour nos gouvernements, car une monnaie fiable et transparente en circulation, les gens n’ont plus aucune raison d’utiliser leurs euros...
Sur la question du crime organisé, il est vrai que le Bitcoin fait partie des moyens minoritaires utilisés par les réseaux criminels.
Mais les montants sont infimes par rapport aux sommes qui transitent par nos grandes banques françaises, par exemple…
Deux poids, deux mesures.
Le Bitcoin, lui, permet aux services de police de suivre en toute transparence l’origine de chacune des transactions.
Source : Numerama
Est-ce vraiment ce qu’on peut appeler un allié du crime organisé ? Non.
Mensonge n°4 : “Les Cryptos polluent énormément”
Il est vrai que pour valider et certifier chaque transaction, la mise en réseau des Cryptos consomme beaucoup d’électricité.
Et parmi les 14 000 Cryptos existantes, le Bitcoin est de loin celle avec la plus grosse consommation énergétique.
Face à ce problème, le secteur trouve des solutions.
Il existe un nombre grandissant de projets éco-responsables dans le secteur des Cryptos.
Avec l’évolution de la technologie, plusieurs Cryptos présentent déjà une consommation énergétique 1000 fois inférieure à celle du Bitcoin !
Mais attention : laissez-moi aussi vous rappeler que les Cryptos sont à comparer à ce qu’elles remplacent.
Le bilan écologique des banques, comme celui du secteur de l’or, sont une catastrophe.
A court-terme, on peut déjà dire que le Bitcoin consomme plutôt moins de ressources qu'il ne faut d’énergie pour extraire, fondre, échanger, transporter et stocker de l’or.
Consommation énergétique annuelle du secteur bancaire, de l’or et du bitcoin
De plus, il est important de préciser que les entreprises spécialisées dans le minage de Bitcoin n’ont quasiment aucune contrainte en termes de géolocalisation.
Elles se placent donc généralement dans des provinces éloignées, plutôt dans des zones froides, et là où d'importantes quantités d’énergies peuvent être produites grâce à l’hydroélectrique, une énergie renouvelable.
Il faut donc nuancer les agressions trop excessives autour de la consommation du Bitcoin, d'autant que les autres Cryptos développent beaucoup de solutions innovantes concernant l'énergie.
Mensonge n°5 : “Il est trop tard. J'ai déjà raté le train pour investir”
En êtes-vous si sûr ?
De fait, en investissant aujourd’hui au milieu de la transition des Cryptos, vous prenez infiniment moins de risques que ceux qui ont “essayé” au début.
Et de très nombreuses opportunités solides sont désormais disponibles, en fonction de vos analyses et centres d'intérêt.
Au milieu de ce nouveau cycle, c'est un vrai risque si vous avez tendance à regarder le verre à moitié vide, car vous pourriez rater le plus gros encore à venir.
Cela s'appelle le biais de l'ancrage.
En regardant le prix récent du Bitcoin, il est facile de s'ancrer sur ce prix et de penser “C'est trop tard, le prix est trop élevé. J'aurais dû l'acheter il y a cinq ou dix ans.” Mais c'était pareil à chaque stade :
Bitcoin à 100 € : certains ont ancré dans leur cerveau qu’il était « trop tard » pour acheter
Bitcoin à 1 000 € : certains ont ancré dans leur cerveau qu’il était « trop tard » pour acheter
Bitcoin à 10 000 € : certains ont ancré dans leur cerveau qu’il était « trop tard » pour acheter
Lorsque le bitcoin montera à 100 000 €, dira-t-on qu’il était « trop tard » pour acheter du bitcoin à 35 000 € ?
Car l’entreprise Tesla a évité cebiais de l’ancrage et investi plus d’un milliard d’euros dans le Bitcoin, quand il était aux alentours de 35 000 €.
A-t-elle eu tort d’avoir payé plus cher que quelques années auparavant ? S'est-elle dangereusement mise en risque ? Surement pas.
De votre côté, vous êtes libre de choisir l’ancrage mental qu’utilise votre cerveau.
Pour conclure ces idées reçues entendues autour des Cryptos, je voudrais rappeler que ce secteur est en pleine construction.
Essayez donc de fuir les avis trop extrêmes avant de les avoir étudiés, surtout ceux qu’on vous impose.
Il est facile de tomber dans le piège de nos institutions historiques qui “défendent leur bifteck”, face à une innovation qui leur fait peur, et remet en question leur culte du secret.
Nos dirigeants étaient ravis de promouvoir l’innovation lorsque les usines ont robotisé le travail de milliers ouvriers ces dernières décennies, en les mettant au chômage...
...Mais maintenant que l'automatisation remet en question leur métier à eux, ce n'est plus la même histoire !
Le système vraiment efficace et transparent des Cryptos est encore très effrayant pour beaucoup de monde, notamment ceux qui ont le plus de pouvoir.
Mais il ne devrait pas l’être tant que ça pour les épargnants et investisseurs, vue sa nature lisible et claire.
Surtout que la plupart des Cryptos ne sont pas des monnaies comme le Bitcoin, mais plutôt des projets pour le grand public et les entreprises.
Aujourd'hui, la technologie des Cryptos est déjà utilisée par 500 millions de personnes dans le monde, et c’est une certitude qu’elle sera partout dans nos vies quotidiennes en 2025.
Je suis sur le point de finaliser un grand projet qui pourrait vous ouvrir des portes inattendues autour des Cryptos, même si vous n’avez jamais investi hors de votre banque.