23% des Suisses sont POUR le revenu de base !

Ce résultat, si on le compare avec celui d’un sondage récent annonçant que 60% des européens seraient favorables à l'instauration d'un revenu de base, peut paraître décevant à première vue. Mais les militants pour le revenu de base voient toujours le verre à moitié plein !

Le succès de cette votation ne réside pas tant dans le résultat, mais dans l’ampleur du débat qu'elle a déclenché. Au niveau national, l'idée d’un revenu de base (qui était un ovni politique il y a encore quelques mois) est désormais connue de tous les citoyens suisses. L'incroyable écho qu'a déclenché le référendum dans les grands médias internationaux (Financial Times, Die Welt, New York Times...) a fortement contribué à porter le débat vers l'avant de la scène politique.

7 votants sur 10 souhaitent que le débat se poursuive. Ce premier vote symbolique marque le coup d'envoi d’un grand débat sur la question du revenu de base. Nous, citoyens, continuons à nous mobiliser pour que chaque pays vote enfin pour son instauration !

En parallèle de cette avancée européenne, le Mouvement Français pour un Revenu de Base lance une grande étude de faisabilité sociétale et d’acceptabilité des citoyens face à l’instauration d’un revenu de base. Cette idée remet en question plusieurs pans de nos existences et il nous faut prendre en compte les changements potentiels induits par son instauration.

L’un des blocages à l’instauration de toute nouvelle idée provient souvent des frontières idéologiques et politiques que les citoyens érigent eux-mêmes, consciemment ou non.

L’étude se concentre sur trois points majeurs : le rapport (actuel) au travail, le contrôle administratif des citoyens et le devenir de ces deux aspects avec la mise en place d’un revenu de base.

Comme il s’agit d’une enquête sociologique sur un sujet brûlant d’actualité, nous avons besoin de la contribution de chacun d’entre vous. N'hésitez donc pas à partager le lien de cette enquête sur vos propres réseaux (prévoyez entre 10 et 20 minutes pour y répondre) !

Merci pour votre participation !

Inconditionnellement,
L’équipe communication du MFRB