Le Sénégal est membre de l’Initiative pour la transparence dans les industries extractives depuis octobre 2013. Dans le pays, un comité local est chargé de la mise en œuvre de la Norme ITIE et supervise chaque année la publication de statistiques sur la contribution économique du secteur extractif.
Le système d’interopérabilité bancaire du Kenya a été lancé en 2017. Aujourd'hui, l'écosystème comprend des banques, des prestataires de services de paiement, des sociétés coopératives d'épargne et de crédit, et une société de télécommunications.
Le nucléaire refait surface dans le débat énergétique mondial. Selon le World Energy Outlook 2024 de l'Agence Internationale de l'Énergie (AIE), il constitue un pilier incontournable de la transition bas carbone. Actuellement, l’énergie nucléaire fournit environ 9 % de l'électricité mondiale, et la construction de nouveaux réacteurs se poursuit à un rythme soutenu. L'Afrique, confrontée à un déficit énergétique chronique avec près de 600 millions de personnes sans accès à l'électricité, commence à s'inscrire dans cette dynamique.
Depuis fin mars 2024, l’Afrique du Sud n’enregistre plus la vague de coupures d’électricité récurrentes qui, quelques mois auparavant, a négativement impacté les performances économiques du pays.  
Meridiam a acquis une participation majoritaire dans Ilitha, une entreprise de télécommunications innovante dont l'objectif principal est de fournir des solutions Internet illimitées et abordables dans les zones mal desservies d'Afrique du Sud.
Le secteur de l'électricité en Zambie est confronté à d'importants problèmes, notamment à cause de la baisse de la production hydroélectrique. Une meilleure intégration énergétique aiderait le pays à fiabiliser son approvisionnement électrique.
En Afrique de l’Ouest, le Bénin figure parmi les principaux producteurs de noix de cajou, aux côtés de la Côte d’Ivoire, du Nigeria et de la Guinée-Bissau. Dans le pays, la filière enregistre une croissance soutenue de la production depuis plusieurs années.
Fondé en 2003 par Moncef Belkhayat, Dislog Group continue de se développer et prévoit une introduction en bourse cette année.
2ème fournisseur mondial de cacao après la Côte d’Ivoire, le Ghana est confronté depuis quelques années à une baisse continue de sa production qui se répercute sur les performances de la filière. Dans ce contexte, le gouvernement veut insuffler une nouvelle dynamique dans la gouvernance du secteur.
Avec un taux moyen de pénétration d’Internet avoisinant 45%, l’Afrique poursuit ses efforts pour garantir l’inclusion numérique et asseoir une économie 4.0. Mais des défis liés à la cherté d'Internet et des appareils d'accès, et à la disponibilité de l’énergie électrique demeurent.
Depuis son arrivée à la tête du Nigeria en 2023, le président Bola Tinubu a fait du renforcement de l’attractivité de l’industrie pétrolière du pays, l’une des priorités de sa gouvernance.
L’annonce était attendue, mais elle n’en demeure pas moins un coup dur pour la lutte contre le changement climatique. Lundi 20 janvier, après son investiture, Donald Trump a signé un décret ordonnant le retrait des États-Unis de l’Accord de Paris, qualifiant ce texte de « nouvelle arnaque verte ».
La production de cuivre en Zambie a connu trois années de baisse consécutive entre 2021 et 2023. Alors que le gouvernement zambien veut produire 3 millions de tonnes par an d’ici 2031, il a fixé un objectif de production de 796 994 pour 2024.
Au Rwanda, le secteur agricole contribue à hauteur de 27 % au PIB et emploie environ 56 % de la population active. Alors que dans le pays, l’agriculture reste encore majoritairement pluviale, le gouvernement intensifie ses efforts d’investissement pour développer l’irrigation agricole.
La filiale locale du groupe ivoirien Sunu Assurances, fondé par feu Pathé Dione, revendique une part de marché de 42% sur la branche vie au Gabon en 2023, avec un portefeuille de clients diversifiés.
Selon SWISSAID, l’exploitation minière artisanale et à petite échelle pratiquée illégalement au Mali a généré une production de plus de 300 tonnes entre 2012 et 2022. Outre le manque à gagner financier que cela représente, le phénomène alimente l’insécurité et la dégradation de l’environnement.
L’Agence Ecofin subit depuis plusieurs semaines des cyberattaques massives et régulières qui nous ont amenés à élever notre niveau de sécurité.
En Mauritanie, la société australienne Aura Energy doit prendre une décision finale d’investissement d’ici fin mars 2025 pour sa mine d’uranium Tiris. Loin d’être isolé, ce projet s’inscrit dans une tendance globale en Afrique, où plusieurs propriétaires de projets d’uranium veulent rouvrir des mines fermées ou accélérer le développement de nouveaux  projets. Un seul objectif pour ces investisseurs : profiter du regain d’intérêt pour le nucléaire dans le monde, et surfer sur la hausse de la demande d’uranium qui en résulte.
Les petits réacteurs modulaires (SMR) suscitent un intérêt croissant à l’échelle mondiale, notamment en raison de leur coût réduit, de leur flexibilité et de leur capacité à produire une énergie stable et bas carbone. Dans son rapport The Path to a New Era for Nuclear Energy, l’Agence internationale de l’énergie (AIE) souligne que ces technologies pourraient représenter près de la moitié des nouvelles capacités nucléaires installées aux États-Unis d’ici 2050 et que des projets totalisant jusqu’à 25 GW de capacité SMR sont déjà en développement dans le monde. Alors que plusieurs grandes puissances investissent massivement dans ces réacteurs, l’Afrique pourrait elle aussi tirer profit de cette révolution. Avec une demande croissante en électricité, des infrastructures énergétiques souvent limitées et des défis d’accès à l’énergie dans plusieurs régions, les SMR apparaissent comme une option stratégique pour l’avenir énergétique du continent. Dissection.
L’année 2025 s’annonce comme une année charnière pour l’énergie nucléaire. Selon l’Agence Internationale de l’Énergie (AIE), cette source d’énergie devrait battre des records historiques et confirmer  son rôle croissant dans le mix énergétique mondial. Avec un nombre de réacteurs en activité également record, une dynamique d’investissement renforcée et une demande accrue en électricité bas carbone, le nucléaire retrouve une place centrale dans la stratégie énergétique de nombreux pays.
La Namibie est le premier producteur africain d’uranium, avec 8283 tonnes livrées en 2023 par ses mines. En 2024 et au-delà, la production devrait croitre significativement grâce au redémarrage de la mine Langer Heinrich par l’australien Paladin Energy.
Seule centrale nucléaire active en Afrique à ce jour, Koeberg contribue à hauteur de 5 % au mix énergétique sud-africain. Alors qu’elle devrait encore fonctionner au cours des 20 prochaines années, le pays prévoit de porter la capacité nucléaire nationale à 21 000 MW, d’ici 2050.
Le directeur général de l’Agence de régulation des postes et communications électroniques (ARPCE), Louis-Marc Sakala, vient d’être nommé par l’Union internationale des télécommunications (UIT) comme membre du tout nouveau Conseil d’administration de son réseau de régulation numérique (Digital Regulation Network -DRN). Cette désignation place le régulateur congolais parmi les cinq personnalités mondiales choisies pour piloter l’harmonisation des politiques numériques à l’échelle internationale.
L’accès à l’Internet abordable pour tous est l’un des objectifs de développement durable en Afrique. Les gouvernants s’attèlent à atteindre cet objectif par divers moyens.
En octobre 2024, les autorités sénégalaises annonçaient leur nouvelle stratégie de transformation numérique baptisée « New Deal Technologique ». Le président a dévoilé la date du lancement officiel du programme.
Le Street Souk, plus grand festival annuel africain dédié au style vestimentaire Streetwear, organisait sa 7e édition le 22 décembre 2024 à Lagos au Nigeria. Evénement de niche, le concept est sur le point de prendre une nouvelle ampleur, notamment grâce à l’intérêt de médias internationaux présents à la dernière édition.
Malgré son potentiel en ressources énergétiques renouvelables, l'Afrique ne mobilise pas encore suffisamment d’investissements pour déployer les technologies nécessaires à la transition. Des solutions adaptées sont pourtant requises pour répondre aux besoins croissants tout en atteignant les objectifs climatiques.



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