Au Nigeria, plusieurs compagnies étrangères ont cédé certains de leurs actifs à des sociétés locales en 2024, notamment dans le périmètre onshore. Des transactions qui confèrent un rôle de plus en plus important à ces entreprises dans l’atteinte des objectifs de production du pays cette année.  
Le Sénégal accélère son électrification avec un ambitieux plan qui mise sur les énergies renouvelables, l’intégration régionale et l’investissement privé. Le pays vise un accès universel à l’horizon 2030, tout en renforçant la viabilité de son secteur énergétique.
Pour diverses raisons, plusieurs pays africains ont lancé des campagnes d’enregistrement des cartes SIM de leurs populations. Au Bénin, les autorités ont fixé une date pour la clôture du processus qui est toujours en cours.
En octobre 2024, la Commission ghanéenne des minéraux a octroyé un permis de mise en exploitation pour le projet de lithium Ewoyaa. Une étape ouvrant la voie au développement de cette future mine, sous réserve d’approbation par le Parlement du contrat de bail.  
L’hydrogène vert offre une opportunité majeure pour la transition énergétique en Afrique. Son développement sur le continent dépend toutefois de financements adaptés et soutenus.
Les consommateurs télécoms guinéens se plaignent régulièrement de la dégradation de la qualité de service. En septembre 2024, la ministre chargée des Télécommunications a demandé aux différentes parties prenantes de prendre des mesures pour corriger cela. 
Il y a quelques semaines, le gouvernement gabonais a renégocié à la baisse son contrat controversé avec la société turque Karpowership. Une initiative intervenue dans le contexte de délestages récurrents qui touchent la capitale Libreville.
Pour valider le financement et le déploiement d’un projet, la Banque mondiale analyse les besoins du pays, les priorités gouvernementales et les capacités institutionnelles susceptibles d’en assurer le succès. Une délégation de l’institution s’est rendue en Côte d’Ivoire cette semaine.
Au Maroc, le secteur agricole traverse depuis 6 ans, une crise structurelle liée à une sécheresse inédite. Aucune filière majeure n’est épargnée par les affres du phénomène climatique.
L’opérateur historique est pointé du doigt comme l’un des principaux responsables de la dégradation de la qualité des services télécoms au Cameroun. En mai 2023, le régulateur lui a infligé une amende de 800 millions de francs CFA.



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