Avec cette nouvelle centrale offerte par le Maroc et le développement de son potentiel solaire, le Niger fait un pas important vers la souveraineté énergétique. Comme beaucoup de pays africains, il dépend encore de l’approvisionnement extérieur pour satisfaire une bonne partie de la demande nationale.
Alors que le monde ne parle que de réduction de la pollution, presque tous les secteurs sont touchés par cet impératif de réduction de l’empreinte carbone. Le secteur du bâtiment est en première ligne de ceux appelant au changement. En Afrique, des architectes comme le Burkinabé Francis Diébédo Kéré étaient déjà en avance sur la question.
Selon les plans actuels de son propriétaire Aura Energy, Tiris, possiblement la 1ère mine d’uranium de Mauritanie dès 2026, devrait livrer 2 millions de livres annuelles sur 25 ans. Doubler la production annuelle permettrait de profiter davantage d’une hausse éventuelle de la demande et des prix du combustible nucléaire.
Liquid Intelligent Technologies ambitionne d’étendre son réseau de fibre optique à travers l’Afrique afin de réduire la fracture numérique. L’entreprise revendique actuellement plus de 110 000 km de fibre déployée sur le continent.
80 millions USD. C’est le montant que l’américain Energy Fuels devrait investir en développement communautaire à Madagascar, d’ici la 4e année d’exploitation de son projet de sables minéraux Toliara. Cet engagement pris dans le cadre d’un protocole d’accord avec les autorités malgaches, ne dissipe néanmoins pas totalement les inquiétudes quant à l’impact socio-environnemental de ce projet décrié depuis des années par une partie de la communauté locale. Explications.
Une accusation émise par le ministre Jean-Lucien Bussa au cours des États généraux des entreprises du portefeuille de l’État, qui s’achèvent à Kinshasa ce samedi 14 décembre 2024. Kamoa Copper n’a pas encore réagi.

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