Le secteur tanzanien des hydrocarbures est actuellement limité à l’exploitation des champs gaziers Mnazi Bay et SongoSongo. L’État envisage d’attirer de nouveaux investisseurs pour accroître la production dans ce segment de l’industrie extractive.
L’opérateur public congolais des hydrocarbures envisage d’attirer de nouveaux investisseurs régionaux, confirmant ainsi le potentiel du marché obligataire de la CEMAC comme une source de financement viable.
Déjà implantée au Kenya et au Nigeria, Raenest passe à la vitesse supérieure avec une expansion vers deux nouveaux marchés, dont l’Egypte. En étendant son empreinte, la fintech entend révolutionner davantage l’écosystème des paiements transfrontaliers, facilitant encore plus les transactions pour les Africains du continent et de la diaspora.
En octobre 2024, la compagnie pétrogazière norvégienne Equinor, l’une des parties prenantes de Tanzania LNG, a indiqué se focaliser sur la conclusion d’accords commerciaux essentiels à la poursuite du projet gazier, avec les autorités tanzaniennes.
Lors d’une rencontre en octobre 2024, les ministres de l’Énergie de l’Algérie et du Niger ont évoqué l’éventualité de plans pour faire évoluer le projet de gazoduc transsaharien (TSGP). Des échanges à venir avec le Nigeria avaient été annoncés.
Le Nigeria est l’un des principaux consommateurs de sucre en Afrique. Dans le pays, l’industrie des boissons gazeuses et de l’alimentation absorbe 60 % du sucre destiné à des usages industriels.
Après avoir intégré le capital de Baobab en 2015, Apis Partners se retire de l'entreprise, dix ans plus tard, en transférant l'ensemble de ses parts au groupe financier égyptien Beltone. Celui-ci envisage d’étendre sa présence sur les sept marchés africains où opère Baobab.
Le pays multiplie les efforts de coopération pour développer son secteur des TIC. En novembre 2024, un protocole d’accord a été signé avec le Vietnam pour renforcer la coopération dans ce domaine.
Le Nigeria est le premier producteur ouest-africain de sésame et le troisième à l’échelle du continent après le Soudan et la Tanzanie. Le potentiel du secteur attire aussi bien les investisseurs locaux qu’étrangers. 
La production d’argent d’Aya Gold & Silver au Maroc a reculé en 2024, malgré la mise en service d’une usine de traitement censée tripler la production. Des problèmes techniques ont retardé le bon fonctionnement de cette installation qui peut désormais répondre aux attentes de son propriétaire.
Lors du Sommet sur l’intelligence artificielle, qui s’est achevé mardi 11 février à Paris, le président Emmanuel Macron a cité l’énergie nucléaire comme l’un des atouts dont dispose la France pour attirer les investissements mondiaux dans l’IA. Cette déclaration souligne le rôle clé du nucléaire dans le développement de cette technologie, à un moment où la transition énergétique suscite un regain d’intérêt pour cette source d’énergie bas-carbone. Riche en réserves, l’Afrique fait partie des régions de production qui peuvent tirer profit de cette croissance de la demande d’uranium que le développement de l’IA pourrait accélérer.
Alors qu’approche la COP30, la plupart des pays n’ont pas encore soumis leurs nouveaux engagements en matière de climat. Avec un plan toujours insuffisant pour résorber le réchauffement, ce retard interroge sur la volonté réelle d’accélérer l’action climatique.
Le Gouvernement de la République de Guinée annonce le lancement officiel de Guinée GOUV., le Service d’information du Gouvernement placé sous l’autorité du Porte-parole du Gouvernement. Cette initiative traduit la volonté de l’Exécutif de promouvoir une communication institutionnelle moderne et transparente, au service de tous les citoyens. Guinée GOUV. repose sur trois objectifs fondamentaux : Informer. Expliquer. Connecter. 
Le 6 février, peu de temps après le discours du président sud-africain Cyril Ramaphosa devant le parlement sur l’Etat de la nation, la corporation des acteurs a vivement critiqué le manque de considération pour le droit d’auteur. Selon les acteurs sud-africains, les autorités locales devraient modifier les textes le régissant depuis 2022.
Présentant un des taux d’électrification les plus bas d’Afrique, le Burundi doit accroitre ses investissements dans l’énergie. L’hydroélectricité se présente comme une option viable, avec des projets de 1 à 10 MW.
Le Fonds ALCB appartenant au gestionnaire d’actifs Cygnum Capital a participé à la première émission obligataire de la structure de microfinance Acep Cameroun. L’opération qui a également attiré des gestionnaires d’actifs camerounais vise à financer le plan stratégique 2025-2027 de l’entreprise.
Le Mali a ouvert en décembre 2024 sa première mine de lithium, Goulamina, avec une capacité de production annuelle supérieure à 500 000 tonnes. Alors que la deuxième mine de lithium devrait produire moins, le Mali est bien placé pour devenir le deuxième producteur africain de lithium en 2025.
Lancé en grande pompe par le président Faustin-Archange Touadéra, le memecoin centrafricain $CAR a vu sa capitalisation plonger en moins de 24 heures. Une initiative qui soulève des interrogations sur la stratégie crypto du pays.
L’intelligence artificielle connaît une croissance accélérée ces dernières années. En pleine transformation numérique, les pays africains cherchent à se positionner pour en tirer pleinement parti.
Les autorités sud-africaines avaient fait part fin 2022 de leur intention d’éteindre les réseaux 2G et 3G. De son côté, MTN s’était fixé pour objectif de désactiver ces réseaux le 31 décembre 2026. 
Le Botswana est largement dépendant du secteur diamantifère, qui représente un quart de son PIB et 80% de ses exportations du pays. Alors que les performances de ce segment minier ont baissé ces dernières années, les autorités s’activent pour accélérer la diversification de l’économie nationale.



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