Le solaire décentralisé s’impose comme solution pour électrifier les zones isolées dans de nombreux pays africains. Au Ghana, un nouveau programme national mise sur cette approche pour étendre l’accès à l’électricité, avec le soutien de partenaires internationaux.
Acteur de premier plan dans le négoce mondial de carburants, la compagnie Vitol joue un rôle important dans les exportations africaines d’hydrocarbures grâce à son expertise en trading, son réseau logistique et ses relations avec les multinationales pétrolières.
Les équipementiers automobiles chinois multiplient les annonces d’implantation au Maroc, afin de profiter des accords de libre-échange signés par ce pays d’Afrique du Nord avec l’Union européenne et les Etats-Unis.
La Tanzanie est le 6ème producteur africain de manioc après le Nigeria, la RDC, le Ghana, l’Angola et le Mozambique. Dans le pays, une initiative privée ouvre une nouvelle voie de valorisation industrielle pour cette culture jusqu’ici cantonnée à un usage vivrier ou à la transformation alimentaire.
Cette évolution traduit un recours accru des Etats membres de la CEMAC aux marchés financiers pour financer leurs besoins budgétaires.
Face à l’accélération de la transformation digitale en Afrique, doter la population de compétences numériques est essentiel. Sans un minimum d'aptitude à accéder aux services publics en ligne et à les exploiter, l’investissement consenti par de nombreux pays pour moderniser leur administration serait vain.
Les autorités nigérianes ont amorcé l’intégration du numérique dans tous les secteurs de l’économie, notamment la santé et l’éducation. Cependant, certaines zones rurales du pays restent dépourvues de connectivité numérique. 
Mining On Top Africa (MOTA), le principal congrès minier africain, revient à Paris, France, pour sa 8e édition annuelle, les 2 et 3 juillet à l’hôtel Meliá Paris La Défense. MOTA 2025 est votre passerelle vers une croissance durable dans un paysage minier africain en pleine transformation. Placé sous le thème « S’unir pour la prospérité : maximiser les bénéfices des richesses géologiques de l’Afrique », cet événement de deux jours réunit des leaders de l’industrie, investisseurs, décideurs politiques et innovateurs pour promouvoir un secteur minier africain compétitif à l’échelle mondiale et fondé sur la durabilité.
Le Gabon fait face à des coupures fréquentes dans un contexte de crise énergétique durable. Les autorités multiplient les réponses pour tenter de stabiliser l’approvisionnement.
La gestion foncière reste un défi majeur pour de nombreux pays africains, freinant l’accès à la propriété et aux services financiers. Face à cette réalité, plusieurs Etats explorent des outils numériques pour moderniser leurs registres immobiliers.
La transformation du secteur électrique ivoirien s’appuie désormais sur des choix ciblés qui allient production décarbonée et ouverture au capital privé.
Depuis la décision finale d’investissement prise en 2022 pour le projet pétrolier EACOP, les parties prenantes ont rencontré d’importantes difficultés liées à son financement. Celles-ci n’ont toutefois pas interrompu l’avancement du chantier.
Depuis le 1er mai, le GoldBod est l’unique régulateur de la filière aurifère artisanale au Ghana. Il a pour mission d’assainir ce secteur pour maximiser les revenus de l’État, notamment en achetant et en exportant l’or provenant des petits exploitants. 
La fintech uruguayenne dLocal souhaite renforcer sa position en Afrique dans un contexte de forte croissance des paiements transfrontaliers, malgré les obstacles structurels qui freinent encore le secteur.
L’opérateur historique cherche à développer ses services internationaux. Dans le segment du mobile money, l’entreprise a par exemple lancé des services de transferts d’argent depuis et vers l'international avec la société américaine Visa. 
Depuis son lancement en 2022, le Système panafricain de paiement et de règlement (PAPSS), conçu pour simplifier les transactions transfrontalières entre pays africains, poursuit progressivement son déploiement. Il enregistre déjà des résultats probants, notamment dans plusieurs pays anglophones d’Afrique de l’Ouest. Dans un entretien accordé à l’Agence Ecofin en 2023, son directeur général, Mike Ogbalu III, détaillait les ambitions de cette plateforme novatrice ainsi que les principaux défis auxquels elle est confrontée.
En Afrique de l’Est, le Mozambique se positionne comme le deuxième producteur et exportateur de noix de cajou, derrière la Tanzanie. Dans le pays, la filière anacarde entrevoit des perspectives de production en nette hausse pour la campagne 2025.
Prévue pour entrer en production commerciale fin 2026, la mine gabonaise Baniaka devrait initialement produire 5 millions de tonnes de minerai de fer par an. Genmin, son opérateur, doit encore mobiliser 200 millions USD pour en lancer la construction.  
Allied Gold est une société canadienne spécialisée dans l’exploitation de l’or. Elle opère principalement en Afrique de l’Ouest, les mines Bonikro et Agbaou en Côte d’Ivoire, ainsi que Sadiola au Mali. Elle est actuellement cotée à la Bourse de Toronto.
 Après l’échec du rachat de KopoKopo, la fintech nigériane Moniepoint revient sur le marché kényan avec un nouveau projet d’acquisition. L’opération a reçu l’aval de l’Autorité de la concurrence du Kenya, mais reste en attente de l’approbation de la Banque centrale.
Rebaptisée Meren Energy depuis quelques jours, la compagnie pétrolière Africa Oil Corporation met en œuvre une stratégie visant à optimiser ses activités aussi bien en Afrique qu’en dehors du continent.
L’Égypte renforce sa position de leader africain des énergies renouvelables avec la mise en service d’un parc éolien record. AMEA Power franchit quant à elle une nouvelle étape dans son expansion sur le continent.
Les risques douaniers désignent l’ensemble des menaces pesant sur les recettes fiscales et la sécurité commerciale, comme la fraude, les fausses déclarations ou la contrebande. Au Maroc, les autorités se sont tournées vers l’IA pour mieux y faire face. 
Le potentiel transformateur du numérique pour l'Afrique est désormais établi, avec des impacts tangibles sur l'économie et les sociétés. La priorité est maintenant d'accélérer les investissements stratégiques pour en tirer pleinement parti. Au-delà de l’infrastructure, un écosystème juridique adéquat est aussi indispensable.



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